Écarter la Russie des épreuves de patinage c’est l’équivalent de prétendre l’écarter des championnat d’échecs, comme cela est réalisé pour les épreuves de mathématiques et cela rend tout simplement nulle la totalité de l’épreuve. Une sanction imbécile qui comme la plupart des sanctions se retourne contre ceux qui prétendent exercer leur toute puissance en tous temps et en tous lieux. (note de Danielle Bleitrach)
La finale va faire son retour
En effet, les meilleurs patineurs mondiaux auront rendez-vous aux même dates à Espoo pour le Grand Prix de Finlande. Après le Skate America et le Skate Canada à la fin du mois d’octobre, le Grand Prix ISU fera étape à Angers pour les Internationaux de France les 4 et 6 novembre. L’incertitude plane toujours sur l’hôte de la quatrième levée, prévue du 11 au 13 novembre et qui sera suivie par le Trophée NHK, qui aura lieu à Sapporo du 18 au 20 novembre. Prévue en Chine puis au Japon lors des deux dernières saisons mais finalement annulée en raison du contexte sanitaire, la finale du Grand Prix aura lieu du 8 au 11 décembre prochains à Turin. A cette occasion, les six meilleurs de chaque discipline à l’issue des six épreuves s’affronteront pour le titre. Une édition 2022-2023 du Grand Prix à laquelle les athlètes russes et biélorusses ne seront pas conviés. « Aucun patineur appartenant aux fédérations russe et biélorusse n’est autorisé et invité à participer à des épreuves organisées par l’ISU avec effet immédiat et jusqu’à nouvel ordre », rappelle la fédération dans son communiqué.
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Robert Gil
la Chine ou la Biélorussie ?