Les gens de ma génération découvrent la manière dont les individus jeunes subissent ces techniques dans leur vie professionnelle et comment elles interviennent dans la formation et tendent à devenir des principes de vie, voire une conception du politique.
Ce mode de vie n’a pas été choisi mais tout paraît avoir été conçu pour que les “trentenaires”, il faut un temps de formation et de galère pour se retrouver dans un tel système, le conçoivent comme “incontournable”. Ces techniques de management paraissent à ces jeunes gens refléter non seulement une nécessité mais une part de liberté et d’autonomie. Au titre individuel, la personnalité de base pratique une amabilité impressionnante mais elle peut s’associer à une brutalité stupéfiante qui peut aller jusqu’à l’eugénisme, un mépris de l’humain. Et là effectivement la parenté avec le nazisme s’impose. Mais en général c’est plutôt une rupture culturelle qui nous parait relever d’un lavage de cerveau en ce qui concerne y compris le passé immédiat.
Dans une émission de radio récente où pour une fois France culture s’intéressait à autre chose qu’à des gadgets de cet auto-exploitation économique et politique, il était présenté un ouvrage qui tente une approche du management nazi par “la joie”, celui du livre de Johann Chapoutot qui montre comment les nazis apparaissent finalement comme l’image déformée d’une modernité devenue folle, traitant des personnes comme de simples facteurs de production sous des apparences de bien-être et de bienveillance au travail.
Ressemblances et évolutions
Cela va des boulots où un “manager” pratique une auto-exploitation de groupe dans une convivialité de génération. Il suffit à partir d’un certain âge de donner toujours plus de responsabilité au cadre vieillissant et usé pour le mettre au rebut, le cadre vieillissant c’est-à-dire celui qui frôle les 45 ans. Certes le manager à qui l’on délègue les fonctions d’auto-exploitation de groupe à commencer par lui, gagne un peu plus mais cela ne compense pas les frais qu’il lui faut assumer pour que son niveau de consommation familial bénéficie de tout le gadget nécessaire à ce type de vie et d’entretien de chaque membre de la famille, les enfants en particulier. C’est pourquoi, le système doit demeurer l’apanage d’une génération. Si le nazisme a eu à cœur d’endoctriner la jeunesse et si, comme le décrit Brecht, un des aspects de ce nazisme a été d’instaurer la peur entre enfants endoctrinés et adultes inquiets, il n’y a pas la même rupture, simplement un manque de temps et de contacts.
Cela va avec le passage à une autre culture avec le primat de l’informatique et un autre type de savoir.
Pour mesurer cela c’est du monde du travail qu’il faut partir alors que l’on a tendance à en rester au niveau des pratiques de consommation très territorialisées, les couches moyennes qui portent cette rupture culturelle et cette autoexploitation “dans la joie” sont celles à qui on a fait croire qu’en dominant les mœurs et la consommation elles étaient la classe dominante et que tout se résolvait par le sociétal, seront de plus en plus confrontées à cette illusion. Mais tout en insistant sur le rôle de la production, il faut aussi voir les effets politiques, une absence de temps et même d’intérêt général.
Il faut comprendre l’art et la manière de tenter de se réapproprier la politique, ce qui est très positif, mais avec cet “ether” de l’exploitation qui baigne y compris l’idéologie et la politique.
J’ai retrouvé avec stupéfaction dans les organisations de jeunesse y compris communistes les mêmes constantes. Les techniques de manipulation empruntées au patronat (ne pas intervenir plus de trois minutes et jouer les gourous du groupe) deviennent le grand remplacement du centralisme démocratique et de la nécessaire formation politique. On se contente de ce que l’on sait et la curiosité intellectuelle est considérée souvent comme une perte de temps puisque la pensée politique se recentre autour d’objectifs resserrés susceptibles de faire rapidement consensus.
La référence faite par Chapoutot au nazisme dans le livre présenté ci-dessous peut masquer le fait que les techniques patronales de l’auto-exploitation n’appartiennent pas au seul nazisme. Le fordisme a été mis en place à la fois aux États-Unis et chez Fiat pré-mussolinienne (dans des entreprises dans laquelle les sympathies nazies n’avaient rien de secret), il correspond à un stade de la production industrielle dans laquelle transformer l’ouvrier en “gorille apprivoisé” jouissant de la possibilité de biens de consommation de masse s’accompagne d’une tentative d’isolement et de destruction des qualifications ouvrières sans reconnaitre celles qui peuvent naître. C’est un processus qui complète ce que Marx a analysé par le passage de la manufacture à l’industrie automatisée déjà avec la vapeur.
Aujourd’hui, il y a à travers l’informatique une recomposition des qualifications mais celle-ci sont prises dans de nouvelles stratégies de parcellisation et de groupes dans lequel se créent des formes de convivialité et d’auto-exploitation avec manipulation “par la joie”. Cela va pour les grandes entreprises avec la privatisation, l’ouverture à la concurrence et pour les unités de service correspondant à ce monde financiarisé à des unités qui peuvent être créées comme des PME mais sont rapidement intégrées dans des groupes.
C’est selon nous ce niveau de qualification y compris collectif qui en partant des “acquis” du “fordisme, puis du nazisme passent à un nouveau stade qu’il faut comprendre sans analogie pour mesurer les potentialités qu’il recèle. Malgré le caractère inquiétant qui vise à vider la requalification des travailleurs en automatisme qui éloigne toute réflexion sur le ‘pourquoi” ou le transforme en pratiques ésotérique, il y a des contre-tendances. Ne serait-ce que la découverte que l’individu n’a plus le temps de vivre tout simplement.
Pourtant le principe idéologique reste le même, celui qu’Althusser décrivait comme l’art et la manière de transformer l’individu en sujet de sa propre aliénation et à ce titre le nazisme reste bien sûr la matrice fondamentale de la démocratie poussée jusqu’au bout quand elle entre en crise.
Danielle Bleitrach
Le management, du nazisme à la mondialisation, ou l’art de produire le consentement et l’illusion d’autonomie chez des sujets aliénés.
S’il ne dresse pas un réquisitoire contre le management et s’il ne dit pas non plus qu’il s’agit d’une invention du IIIe Reich, Johann Chapoutot souligne une continuité entre les techniques d’organisation du régime nazi et celles que l’on retrouve aujourd’hui au sein de l’entreprise, en atteste la condamnation récente de l’entreprise France Télécom et de ses trois ex-dirigeants pour “harcèlement moral institutionnel”.
Professeur d’histoire contemporaine à l’Université Paris-Sorbonne, et après s’être intéressé au régime nazi dans des ouvrages comme Histoire de l’Allemagne (de 1806 à nos jours), paru aux PUF (Que sais-je ?) en 2014 ou La Révolution culturelle nazie (Gallimard, 2016), il revient avec Libres d’obéir : le management, du nazisme à la RFA (Gallimard, 2020), où il s’intéresse en particulier aux méthodes de la Menschenführung, qui traduit et germanise le terme américain de management. Une organisation optimale de la force du travail. Car, montre-t-il, l’Allemagne du IIIe Reich est le lieu d’une économie complexe où des ingénieurs, juristes, intellectuels formés par les universités de la république de Weimar et courtisés par les nazis réfléchissent à l’organisation optimale de la force du travail. Le IIIe Reich devient ainsi un moment “matrice” (p.16) de la théorie et de la pratique du management pour l’après-guerre. Il faut penser la transformation de l’administration, car en matière économique, il faut produire dans des quantités inédites et inouïes dans l’histoire allemande (Johann Chapoutot).
Après 1945, les historiens prennent ainsi conscience que le crime de masse a été une industrie basée sur des méthodes d’organisation et de logistique ayant rendu possible une série de crimes que l’on attribuerait plutôt à la barbarie. C’est là la preuve de la contemporanéité du nazisme, ces crimes traduisant des projets politiques et économiques rationnels décidés par des technocrates ou des managers.
Les nazis ont très bien compris que pour produire dans des quantités inédites dans l’histoire, il fallait motiver le « matériau humain » ; que l’on appelle aujourd’hui la “ressource humaine”, le facteur de production qui était le facteur travail (Johann Chapoutot).
Surtout, Johann Chapoutot souligne un paradoxe : une conception du travail non autoritaire mise en place par un régime illibéral, où employé et ouvrier consentent à leur sort dans un espace de liberté et d’autonomie construits autour de l’imaginaire de la “liberté germanique”, un vieux topos entretenu par le Reich pour justifier ce fonctionnement et cette organisation du travail “par la joie” (durch Freude). Animés par des politiques sociales et un fonctionnement d’entreprise favorisant le plaisir et le loisir, “l’heure, nous dit Johann Chapoutot, n’est pas encore aux baby-foot, aux cours de yoga ni aux Chief Happiness Officers, mais le principe et l’esprit sont bien les mêmes” (p.74) – les travailleurs obéissent à la Führung, une forme de pouvoir qui leur dicte les fins à atteindre mais qui reporte sur eux la responsabilité des moyens, car il n’y a que dans la manière de remplir ces objectifs qu’ils sont libres d’agir. Des méthodes pensées et prônées par des intellectuels, hauts fonctionnaires et administrateurs soucieux de mener le pays vers la prospérité en enjoignant de faire plus par la souplesse d’esprit, la rapidité d’exécution et la flexibilité.
Les managers nazis reprochent aux Français d’être trop centralisateurs et trop autoritaires. C’est pour ça qu’ils opposent à l’administration à la française, centralisatrice, verticale et hiérarchique (…) le management à l’Allemande, qui, de manière assez contre intuitive pour nous, est libéral (Johann Chapoutot).
L’idée des Nazis est que l’Etat doit être pulvérisé. Dès 1933, ils détruisent l’État (Johann Chapoutot).
Une modernité devenue folle
Parmi ces intellectuels, hauts fonctionnaires et administrateurs, Reinhard Höhn, auquel Johann Chapoutot consacre une grande partie de son essai : ayant échappé aux purges de la dénazification après 1945, ce cadre prometteur du IIIe Reich, protégé d’Himmler, devient directeur de l’Académie des cadres (Akademie für Führungskräfte) fondée en 1956 dans la ville de Bad Harzburg (Basse-Saxe), académie où il enseigne les techniques de management appliquées par le régime nazi aux côtés d’autres anciens membres SS. S’y forment tant le gratin du “miracle économique”, cadres de Aldi ou de Opel en passant par Hewlett-Packard et BMW, aussi bien que ceux de l’armée nationale de la République fédérale d’Allemagne, la Bundeswehr. Car les stratégies managériales de l’armée sont, encore une fois, très proches de celles de l’entreprise.
En outre, à l’heure du virtuel et d’une croissance tournée vers la production mondiale effrénée, où le travail, entre burn out et bullshit jobs, semble ne plus avoir de sens, Johann Chapoutot montre que les nazis apparaissent finalement comme l’image déformée d’une modernité devenue folle, traitant des personnes comme de simples facteurs de production sous des apparences de bien-être et de bienveillance au travail.
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Daniel Arias
“Conception du travail non autoritaire”
Dans la société de service informatique où j’ai travaillé, une multinationale, le parcours de carrière était “personnalisé”. Cette personnalisation se traduisait par des entretiens individuels de carrière tous les 6 mois. Lors de ces entretiens des objectifs plus ou moins foireux étaient construits salarié et responsable ensemble (imposés par le responsable) et devaient conditionner la performance et le succès de l’individu salarié. Le même processus avait lieu pour les cadres avec leurs supérieurs, sauf bien sûr pour les dirigeants répondant aux cours en bourse de l’entreprise et au conseil d’administration.
Ces entretiens étaient signés par les seules deux personnes et ressortis à l’entretien suivant, où un échec pouvait se traduire par un 0% d’augmentation voir des remarques ou des pressions plus ou moins sournoises ou mieux encore le placement sur un projet qui va vous mettre en difficulté pour vous faire craquer si besoin jusqu’à la démission, la dépression ou le suicide pour raisons personnelles. Ceci avant la loi sur la rupture conventionnelle de contrat négociée de grès à grès avec la hiérarchie. Pour ceux qui était dans l’objectif ou proche, soit 80% de la population, ils avaient tous la même augmentation environ 2%, sauf dans les cas de “difficultés économiques” — manque de profits des actionnaires —, ce salaire individualisé était curieusement très homogène. Viennent ensuite les surhommes, les vrais, les bons ceux qui s’impliquent dans leur travail, ceux qui font 10 à 12 heures par jour sans réclamer d’augmentations, ceux qui savent motiver les équipes (harceler), les chefaillons avec quelques biens vus et quelques rares techniciens indispensables avaient des augmentations de 4%. Quelques rattrapages avaient lieu quand la convention collective remontait les salaires par qualification.
—Aujourd’hui une entreprise peut déroger aux accords collectifs de branche si un syndicats majoritaire signe un accord d’entreprise, la priorité est donnée à la “négociation” sur le collectif pour des raisons “d’agilité et sous couvert de démocratie”—.
Tous le collectif n’était pas détruit, il y a eut l’élection du “projet du mois” sans impact sur le salaire et sans primes, juste une décoration à éventuellement faire valoir lors de l’entretien individuel.
Dans ce contexte je vous laisse imaginer ce qui arrive aux grandes gueules et aux rebelles.
Mes camarades informaticiens BAC+2 minimum avaient intégré que 2% c’est mieux que 0% et que 4% demandait un certain sacrifice, sur ce constat ils la bouclaient prudemment ou s’adonnaient aux activités de cirage auprès des chefs.
J’ai échappé aux dernières méthodes de gestion de projets informatiques dites agiles. Un savant mélange de méthodes de gestions piochées dans diverses cultures. Pour un projet le chef de projet est temporaire, même éventuellement élu parmi les “collaborateurs” — il n’y a plus de salariés ou autres camarades mais des collaborateurs —, celui-ci pouvant sauter à chaque projet, le travail à faire est présenté sur des post-it sur un mur et chacun va choisir une tâche dans la colonne “à faire” pour la placer dans “encours” avec son nom et il devient responsable de son choix. Tout ceci dans une ambiance relax et conviviale, avec parfois des salles confortables, baby-foot ou billard, salle de repos comme à la maison et même mieux, pour se sentir bien au travail.
Il y a même des explications avec des musiques cools qui vous montrent la différence entre un dirigeant en costard cravate, pas sympa, et un hipster cool en jean baskets, une barbe cool et qui développe et respecte les individus, si ça c’est pas cool, un chef pote et épanoui respecté par son équipe où tous sont égaux ; le Leader ne dirige pas il MANAGE. Trop cooool ! Qui a dit que l’entreprise c’est la tôle ?
https://youtu.be/Ja5kbriT1-c
C’est même possible sans tabous et avec humour, si si.
Il faut juste parler jeune, c’est pour ça on veut des collaborateurs agiles pour qu’ils passent mieux par la fenêtre à partir de 35 ans.
https://youtu.be/kZx_vrMZxGk
Il y a cependant toujours des rabats joie qui associent ces méthodes agiles qui accélèrent les cycles d’adaptation sans formation des salariés et sans moyens d’atteindre les objectifs détruisant l’image que se fait l’individu de lui même et provoquant le burn-out. Des méthodes imposant une fusion artificielle des membres d’un groupe soumis à des injonctions insupportables.
https://www.groupe-diedre.net/blog/management-agile-consequences-psycho-sociales/
Bon soyons un peu sérieux les données transformées en informations utiles au pilotage des entreprises sont conçues par les cadres supérieurs des entreprises ou des consultants externes, puis produites par des algorithmes et les programmes informatiques, enfermant la plupart des salariés dans un carcan informatique imposant le rythme et procédure tout en détruisant les faibles lieux d’autonomie. Il faut satisfaire des indicateurs les KPI qui assureront la carrière du cadre salarié même s’il ne comprend rien aux indicateurs.
La marche opérationnelle de la production devient secondaire, les indicateurs priment.
CGT EDF risques psycho sociaux:
https://cgt-edf-recherche.fr/les-risques-psycho-sociaux-rps-a-edf-rd/
S’il ne faut pas rejeter ces méthodes dans leur totalité, leur usage dans le mode capitaliste n’a pour objet que la maximisation du profit, l’augmentation de la vitesse de circulation de la monnaie par le moyen de modes éphémères qui n’apportent rien à la civilisation ou au bonheur. La mode du management agile cache une agitation et des résultats calamiteux, 9 mois pour installer un ascenseur dans une cage existante, près de 3 ans pour élargir 10 kilomètres d’autoroute et l’abandon de toute planification à long terme nécessaire pour nous adapter aux changements climatiques ou aux besoins de santé.
La Chine exploite des usines à légumes développées par un long processus de recherche pluridisciplinaire sur les végétaux, l’électronique, l’optique et l’informatique aboutissant à une usine occupant 5 personnes pour une surface de 200m² usine robotisée où la pousse des légumes est entièrement sous contrôle, sans pesticides ni herbicides au sein même des villes et bientôt à la maison même sur étagères avec croissance contrôlée et surveillée depuis votre smartphone. Ces végétaux ont des propriétés nutritives optimisées. A surface égale la production est multiplié par plus de 40 en rapport à la cullture en terre.
La technologie chinoise a été exportée même aux USA, ceci est le fruit de décennies de planification socialiste et non de l’agitation agile idéologie dominantes de nos start-up futiles.
Changer la date pour le 26/6/2022 et choisissez l’émission Magistral sur la ligne temps à 8:15:
https://francais.cgtn.com/channel
https://youtu.be/h7_ZcLnrimE
Johann Chapoutot sur France Culture, Les influences nazies du management moderne:
https://youtu.be/04LT2GUMpgs
3 millions de personnes en France potentiellement en surmenage professionnel.
https://youtu.be/JpqlZROin6I
Expliqué par la concurrence et la compétitivité.
Non ! Ce qui explique cela c’est la propriété privée des moyens de production détenue par les bourgeois qui imposent leurs exigences de taux de profit, sans rien avoir à faire des dégâts qu’ils produisent sur les travailleurs, leurs familles et même les conditions de notre survie sur Terre.
Cette concurrence et compétitivité sont inculquée dans le système scolaire et par cette invention Anlo-Saxonne le “Sport” valorisant les gagnants et la culture de la lutte contre ses semblables.
En Chine le développement scientifique et technique expliqué à sa jeunesse dans une excellente émission “Magistral” où dans pratiquement chaque épisode la durée et la patience sont aussi importantes que le travail persévérant.
CGTN Français Magistral:
https://www.youtube.com/playlist?list=PLwlh9F3hy8o7qvCl5UW7w2ezWUmXa-kFE
etoilerouge
Ce management fascisant ds la joie a une nécessité individuelle et collective: le point zéro, pas de passé,pas de mémoire donc de l’entreprise orga propriétaires lois buts légaux rien de tt cela n’est important et n’existe puisque tt dépend de l’individu atteignant dépassant ses résultats individuels sans moyens collectifs puisqu’il n’y a pas de collectif hors le regroupement permanent joyeux permissif ( boissons drogués) ds le but de motiver au dépassement d’état lois comportements sociaux faux mépris de la société, de collectifs etc et de l’histoire donc la politique mépris du syndicat de classe car il a une histoire un respect de la loi, du collectif et de l’individu des normes sociales âge formations savoirs histoire etc
Alfreda
https://www.youtube.com/watch?v=KSgGY2Y9daA
Oui. D’ailleurs, nous même, derrière nos écrans, c’est bien ce qui fait obstacle à vivre de vrais échanges entre nous hein? Je vous laisse sur cette constatation ..