Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

SCANDALE MCKINSEY : OUI CELA MÉRITE « D’ALLER AU PÉNAL » !

Le fait qu’un candidat-président ose solliciter en “favori” les suffrages des français en montrant à quel point il est oligarque, otage des oligarques y compris des USA, n’a d’égal que l’attitude scandaleuse des médias aux ordres qui tentent d’atténuer ce qui est en fait une véritable forfaiture surtout dans une période de guerre où les mêmes tentent de nous embrigader derrière les USA et l’OTAN. Au fait, si je vote communiste et vous invite d’en faire autant c’est que c’est à la ténacité d’une élue communiste que l’on doit la révélation de telles complicités, c’est leur candidat, qui ne s’est pas enrichi et est prêt à donner toutes les justifications à la justice, que l’on tente en vain de salir, c’est surtout le désintéressement de tous ces militants communistes sur lesquels je parie contre l’oligarchie mondialisée et ses représentants et fondés de pouvoir. Même si je dois reconnaitre que le candidat communiste est aussi nul et à côté de la plaque au plan international que tous les autres, on peut imaginer que son souci des classes populaires le forcera à évoluer ce qui n’est pas le cas des autres, mus essentiellement par des ambitions personnelles et les intérêts capitalistes. Il faudra également s’appuyer sur tous ceux qui professionnellement, sans nécessairement avoir des opinions de communistes, défendent le service public auquel ils ont voué vie et vocation. (note de danielle Bleitrach pour histoireetsociete)

RÉGIS DE CASTELNAU

Le McKinseygate

Le scandale causé par les informations de la commission sénatoriale d’enquête sur le recours systématique par l’État à des cabinet de consulting, a pris de l’ampleur. Effarés les Français ont appris que l’État avait eu massivement recours à des intervenants externes, en général des cabinets à bases anglo-saxonnes, pour des missions dont l’utilité ne sautait pas aux yeux, c’est le moins que l’on puisse dire. Le tout pour plus d’un milliard d’euros (!) pour la seule année 2021.

Ce que l’on appelle maintenant « l’affaire McKinsey » dégage des fumets particulièrement malodorants, à base de soupçons de corruption, de connivences, de conflits d’intérêts, de fraudes fiscales, de faux témoignages, et autres joyeusetés. Qui donnent avec insistance l’image d’une république bananière.

Tout cela fait particulièrement désordre à 15 jours du premier tour de l’élection présidentielle. Le principal intéressé, qui a manifestement impulsé ces dérives depuis son arrivée à l’Élysée en 2017, a été contraint de s’exprimer. Et il l’a fait, comme à son habitude en procédant par affirmations invérifiables et en rappelant à nouveau avec arrogance qu’il se considère intouchable. Emmanuel Macron a actualisé le fameux « qu’ils viennent me chercher ! » utilisé au moment de l’affaire Benalla : « Il faut être très clair, parce que là on a l’impression qu’il y a des combines : c’est faux, il y a des règles de marchés publics. S’il y a des preuves de manipulation, que ça aille au pénal. » a-t-il asséné sur le plateau de France 3.

On ressort stupéfait de la lecture du rapport de la commission d’enquête du Sénat. Par le volume invraisemblable des achats par l’État de ces missions externes, par leurs fréquentes inutilités, et l’importance vertigineuse des rémunérations.

Concernant les interventions du cabinet McKinsey qui sont la pierre angulaire de ce qui est devenu un scandale d’État, comment se pose le problème ?

Cette société dont le siège social est aux États-Unis a une succursale en France qui emploie 600 salariés et fait un chiffre d’affaires qui avoisine les 400 millions d’euros par an. La première observation que l’on peut faire, porte sur les liens personnels que les dirigeants entretiennent avec le plus haut niveau de la sphère publique. À base de connivences, de pantouflage juteux, d’allers-retours réguliers, voire de liens familiaux, l’ensemble donnant une image particulièrement déplaisante. On ne prendra que deux exemples tellement significatifs. Tout d’abord le directeur général du parti La République en Marche, Paul Midy, a travaillé pour McKinsey pendant sept ans, de 2007 à 2014. Il y était notamment chargé de la « conduite de la réforme de l’État »… Ensuite il y a Victor Fabius, directeur associé du même cabinet dont le père est président du Conseil constitutionnel. Qui valide les textes de lois votés sur la base des propositions de McKinsey. Même si l’infraction de « prise illégale d’intérêts » du code pénal, n’est peut-être pas constituée, il y a là un problème politique et éthique dont la république aurait dû se dispenser.

Le scandale a vraiment éclaté lorsque l’on a appris que McKinsey fournisseur privilégié à l’État, de missions onéreuses et à l’utilité discutée n’avait pas payé à la France, un sou d’impôt sur les bénéfices depuis 10 ans ! Puisque lesdits bénéfices remontaient intégralement à la maison mère dont le siège social est situé… dans l’État du Delaware, paradis fiscal bien connu.

« Que ça aille au pénal ! »

Le président de la République ayant conseillé à ceux qui s’interrogent « d’aller au pénal », il est nécessaire de lui fournir quelques pistes. En rappelant que l’expression utilisée par le chef de l’État est une insolence et ne veut rien dire puisque « le pénal » n’est pas un lieu où l’on va. L’action publique est menée par l’autorité de poursuite, c’est-à-dire le parquet qui est sous l’autorité de l’exécutif dont le chef s’appelle actuellement Emmanuel Macron. Les parties civiles qui y ont intérêt ont dans ce domaine des pouvoirs restreints.

Dressons donc un petit catalogue des infractions pénales que recèlerait « l’affaire McKinsey ».

Il y a tout d’abord la fraude fiscale, puisque l’optimisation utilisée par le cabinet pour faire échapper ses bénéfices à l’impôt, obéit à des règles assez strictes. Il semble quand même très problématique au regard de ces règles, qu’une filiale dont le siège est en France, qui emploie 600 personnes et fait un chiffre d’affaires de 400 millions d’euros, puisse transférer la totalité de ses bénéfices à sa maison-mère. Il est donc indispensable que l’administration fiscale lance une procédure de contrôle et s’il apparaît que cette facilité a été abusivement utilisée, prononce un redressement et transmettent le dossier à la juridiction compétente pour les poursuites pénales.

Il y a ensuite la concussion. Infraction qui réprime le fait pour un agent public de ne pas faire percevoir à l’État ce qui lui est dû. C’est la question de l’inaction des agents publics face à la probable existence d’une fraude fiscale commise par McKinsey.  L’attitude des différents ministres venant dire aujourd’hui « on ne savait pas » est simplement grotesque. D’abord il est clair que l’administration de Bercy était aux premières loges pour connaître cette situation. Ensuite Emmanuel Macron nous dit que tous les marchés attribués à McKinsey l’ont été après des procédures de mise en concurrence. Eh bien précisément pour pouvoir y concourir et être attributaire, il faut justifier de l’accomplissement de ses obligations fiscales. Tous les agents publics intervenants à ces procédures étaient donc parfaitement au courant. Le fait d’être resté passif, a permis à McKinsey de ne pas régler à l’État des sommes qu’il lui devait. Tous les agents publics qui ont contribué à cette exonération illégale devraient en répondre sur cette base.

Ensuite toujours, il faut maintenant directement répondre à Emmanuel Macron et passer au délit de favoritisme. Celui qui sanctionne le fait de violer ou de ne pas appliquer les règles de la commande publique. Le président de la République nous dit « il y a eu des procédures d’appel d’offres, donc tout va bien ». Non, tout ne va pas bien. Une procédure peut présenter extérieurement tous les aspects de la régularité et recéler des manquements que seule une étude approfondie permet d’identifier. Les fameux « cahiers des charges sur mesure » qui contiennent des exigences permettant d’avantager tel ou tel, les critères de choix biaisés, la subjectivité de la notion de « mieux-disant », il existe tout un tas de ficelles pour contourner les règles. Les identifier nécessite un travail d’enquête minutieux que seule la procédure judiciaire permet. Encore faut-il que la justice, pénale ou administrative, soit saisie. Elle peut l’être par les concurrents évincés, et il est clair que parmi les participants au festin à 1 milliard d’euros, personne chez les cabinets de conseil, n’a envie de se mettre l’État à dos par des recours intempestifs.

Enfin, il y a nécessairement le problème de la corruption. Pour être constituée, celle-ci doit avoir provoqué l’attribution par la personne publique d’un avantage, en l’occurrence un marché, en contrepartie d’une « rétribution » occulte dont il n’est pas nécessaire qu’elle soit en numéraire. Pas plus qu’elle soit concomitante à l’attribution de l’avantage. Par exemple : « je définis une mission, utile ou inutile pour l’État, je vous préviens et j’organise un appel d’offres en veillant à ce que vous en soyez l’attributaire. En contrepartie, le jour venu, vous mettrez à la disposition de mon équipe de campagne un certain nombre de vos salariés dont les prestations seront bénévoles et présentées comme militantes. » Cet exemple est bien évidemment purement fictif et toute ressemblance avec quelque chose ayant réellement existé serait purement fortuit…

Petit bonus pour le catalogue des infractions pénales. Le directeur de McKinsey a été entendu sous serment comme l’exige la loi, par la commission d’enquête. Toute fausse déclaration est assimilée au délit de faux témoignage et sanctionné comme tel par le code pénal. Karim Tadjeddine ayant prétendu que sa société payait ses impôts en France, la commission a transmis au parquet un signalement concernant le risque de faux témoignage.

Silence complice de la justice ?

Alors Emmanuel Macron nous dit que si nous ne sommes pas contents il faut que nous « allions au pénal ». Et c’est là que sa phrase prend toute sa dimension arrogante. Il sait parfaitement que la justice ne bougera pas. Le PNF a contribué à son élection avec la procédure fulgurante qu’il avait lancée contre François Fillon. Depuis cinq ans son entourage et ses amis ont été soigneusement préservés. En cette période électorale les magistrats ont trouvé le moyen d’intervenir à nouveau dans une campagne électorale, contre… Fabien Roussel d’une part et Jean-Luc Mélenchon d’autre part. En revanche, concernant le scandale d’État majeur que constitue l’affaire des cabinets de conseil, malgré les milliards d’euros en cause, les autorités de poursuite, achevant de se déconsidérer restent obstinément muettes.

Évidemment, aucune décision de culpabilité ne pourrait être rendue dans les semaines qui viennent, mais ce n’est pas le sujet. Car ce silence judiciaire que l’on ne peut ressentir autrement que méprisant démontre une chose grave. La presse étrangère et les O.N.G. sont extrêmement sévères sur la France la présentant souvent comme une république bananière. Le fonctionnement actuel de la justice, devenue, en violation du principe de la séparation des pouvoirs, une force politique autonome qui soutient le système Macron, en est un des éléments clés.

La France a aujourd’hui un problème majeur avec le fonctionnement de sa justice.

Régis de Castelnau

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4 Commentaires

  • Daniel Arias
    Daniel Arias

    Tiens tiens Victor le fils de Laurent !
    https://gw.geneanet.org/wikifrat?lang=fr&n=fabius&oc=0&p=victor
    En toile de fond le pass sanitaire pour doper les ventes du vaccin américain.
    Rappelons que pendant ce temps les vaccins Russes, Cubains, Indiens ou Chinois étaient sur le marché ou sur le point de l’être.
    Un autre scandale l’arrêt des recherches en France, Alstom,…

    Ici un autre scandale avec un des plus grands cabinet de conseil français dont les conflits d’intérêts passent par un patron PS et un haut cadre CFDT, si si !
    https://www.youtube.com/watch?v=4pGFe66hWCQ&ab_channel=CanalConcorde

    Il y a quelques années j’ai travaillé sur un projet informatique pour un ministère, via mon employeur une société privée, le marché faisait appel à un composant informatique qui n’était pas en vente. Curieusement ce composant était propriété de l’autre société parisienne qui soumissionnait. C’était un petit projet à 4 millions de francs (c’est petit 4mois/homme de travail).
    Pour pouvoir soumissionner mon employeur a menacé d’aller en justice ce qui a obligé le propriétaire du composant à nous vendre une licence et nous avons emporté l’appel d’offre truqué par un conseillé du ministère.
    Les développeurs nous savions tous que la technologie et le langage informatique très rare (moins de 500 développeurs dans le monde) menait ce projet au fiasco. A 4 nous avons livré le logiciel fini dans les délais et les normes demandées. A la fin du projet le logiciel a tout simplement été jeté pour être réécrit selon nos recommandations initiales. Bien sûr le ministère a payé à nouveau.
    Le collègue expert technique qui avait été chargé du premier appel d’offre avait prévenu les représentant du ministère et nos cadres du mauvais choix alors qu’existait à cette époque un langage très répendu Delphi qui permetait de faire le boulot à moindre frais et avec une garantie de maintenance bon marché.

    J’écoutais ce matin Quatenens racontant ses conneries à la télé sur la taxation des super riches.
    Je ne veux pas taxer les riches, je veux que nous reprenions nos outils de production et assumions la pleine responsabilité de ce que nous produisons, bénéfices et risques partagés et assumés collectivement et démocratiquement.
    Taxer les exploiteurs c’est reconnaître leur rôle dans la société et les accepter en tant que parasites et directeurs de l’économie il faut leur enlever leurs rentes et qu’ils travaillent comme les autres.
    Le pouvoirs aux Soviets !

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  • Baran
    Baran

    L’article n’est pas assez précis sur la question des obligations fiscales.

    Il faudrait préciser que McKinsey échappe à l’impôt sur les sociétés par le mécanisme des prix de transfert. Je crois que si on voudrait attaquer l’Etat et l’entreprise cela pourra se faire sur la base de la critique de cette documentation qu’il faudra étudier et mettre en interrogation. Cette documentation est un pilier dans le contrôle comptable.

    L’État français l’a t-il étudié ou demandé avant d’attribuer les marchés publics ? Qu’est ce qu’on demande comme documents comptables ?

    Il faut savoir que la documentation des prix de transfert est une obligation pour les entités qui font du commerce intra-groupe et chiffrent à plus de 400 millions de CA. Une documentation de prix de transfert ça peut être des fois des livres de plus de 1000 pages que les administrations fiscales doivent contrôler en cas de suspicion !

    Là cela semble devoir être le cas d’autant que le fait que la maison mère de McKinsey France soit domiciliée dans un paradis fiscal a un caractère techniquement agravant pour les ADM fiscales. Elle justifie le principe de “suspicion de fraude” dans le commerce effectué en intra-groupe. infraction de la “juste valeur”.

    Si l’Etat français a trouvé cette documentation appauvrissant l’entité française comme à sa “juste valeur”, sans avoir rien à y redire alors il faudra qu’elle justifie comment cela se fait qu’elle trouve tout un fait probant qu’un groupe de conseils opérant avec plus de 600 salariés ne produise aucune valeur en France et transfert vers un paradis fiscal, le Delaware, l’essentiel de son résultat.

    Le fait que la caractéristique d’un centre de profit dans le Delaware ne produise aucune alerte de suspicion de fraude par les autorités de contrôle fiscale et d’encadrement des marchés publics doit être expliqué!

    Petit lien sur ce que c’est que la technique comptable du prix de transfert :
    https://novances.fr/2018/06/07/les-obligations-de-documentation-des-prix-de-transfert/#:~:text=La%20documentation%20des%20prix%20de%20transfert%20se%20compose%20d'un,fichier%20local%20(local%20file).

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  • pedrito
    pedrito

    Merci! Merci! Pour ton entrée en matière, ma chère CAMARADE. Ce que je ressens et que je n’écrirai jamais aussi bien que toi, tu ne leur envoies pas par la poste, à celles et ceux qui ont confisqué le Parti pour en faire un appendice cancéreux de la social démo.
    Merci encore

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  • Gourmel Michel
    Gourmel Michel

     La société au 500.000 morts pour gérer la santé publique

    Pourquoi la société McKinsey aux 500.000 morts aux USA a-t-elle été choisie pour la santé publique française par Macron et ses séides ?

    Censuré en France ! Pourquoi ? Responsable de 500.000 morts aux USA, MCKinsey conseil la France en matière médicale ! ! ! EM Fous ou criminels ?

    McKinsey, énorme scandale US, et remplaçant de ministres français EM.

    C’est un énorme scandale qui revient régulièrement à la une de l’actualité, et pour cause : il a fait 500.000 morts aux USA avec des conséquences énormes dans les états US victimes de cette société. Et d’autre part, le PDG est grand copain de Macron qui claque un pognon de dingue pour qu’elle remplace ministres et hauts fonctionnaires. Ci-dessous des extraits de différents journaux, dont certains ont été déjà publiés par RAS par le passé.

     
    McKinsey condamnée à payer 596 millions US$ pour 500.000 Américains morts d’usage abusif d’opioïdes
    McKinsey, société US de conseil, proche d’Emmanuel Macron, qui supplante l’administration française en termes de projets – santé, covid, éducation etc…- condamné, après accord avec la justice américaine à, verser 573 millions de dollars pour 500 000 Américains morts d’usage abusif d’opioïdes
    L’entreprise criminelle McKinsey qui travaille avec le gouvernement français — très convenablement payée avec les deniers du peuple — a été condamnée conclu un accord de 573 millions US$, avec les procureurs généraux de 47 États, du district de Columbia et de 5 territoires. Des accords distincts ont été annoncés dans l’État de Washington, pour 13 millions US$, et en Virginie-Occidentale, pour 10 millions US$…
     
    La société McKinsey & Company a dû accepter cette transaction pour avoir incité l’entreprise Purdue Pharma — elle même condamnée à payer 4,28 milliards US$ — à vendre ses opioïdes hors de toute indication médicale…
    http://canempechepasnicolas.over-blog.com/2022/02/mckinsey-condamnee-a-payer-596-millions-de-dollars-pour-500-000-americains-morts-d-usage-abusif-d-opioides.html
     
    Après Johnson & Johnson, condamné lundi à plus de 500 millions US$ d’amende. Purdue Pharma prête à payer un montant de 10 à 12 milliards US$ (11,5 à 13,8 milliards €) pour mettre fin à plus de 2 000 plaintes.
    https://www.leparisien.fr/societe/sante/crise-des-opiaces-aux-etats-unis-d-autres-laboratoires-vont-payer-28-08-2019-8140602.php
    Purdue Pharma avait songé à mettre la clef sous la porte plutôt que de payer. Elle a finalement opté pour le paiement, il faut que çà rapporte un max !

    https://www.nytimes.com/2019/07/25/business/mckinsey-johnson-and-johnson-opioids.html

    Mc Kinsey avait trouvé une « merveilleuse » technique pour booster les ventes d’opiacés, et les morts ont suivi exactement la courbe des ventes ; une excellente référence pour Macron !

    Lire l’article : Le Monde : McKinsey, un cabinet dans les pas d’Emmanuel Macron

    https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2021/02/05/de-la-creation-d-en-marche-a-la-campagne-de-vaccination-mckinsey-un-cabinet-dans-les-pas-de-macron_6068833_4500055.html

     

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