Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Pourquoi ont-ils peur du mot “socialisme” ? par Danielle Bleitrach

Je rebondis sur l’intervention d’une camarade sur ce blog, Mireille Popelin réagissant au texte de J.Cl Delaunay(1) : je suis bien d’accord: “On dirait que les communistes français sont tétanisés par le concept de socialisme je l’ai constaté en réunion avec des communistes ! quand je parle de la nécessité de lutter pour le socialisme, c’est la stupeur, l’embarras, on passe “au point suivant ” . Va falloir que je leur rentre dedans. Vous dirai les résultats

je dois dire pour ma part que dans mes cauchemars les plus audacieux je n’avais jamais osé imaginer pareil interdit, celui de prononcer le mot socialisme dans les couloirs du colonel Fabien et par “ruissellement” de voir!e même interdit suscitant une gêne proche de la panique si on ose le prononcer en réunion de section. C’est exactement ce que décrit Gombrowitcz avec un fantôme au milieu d’un salon bourgeois: “que dire cette présence est tellement… mal élevée!” On ne débat pas, on ignore…

Le mot communisme est lui parfois utilisé. Cela se passe quand on ose aller au-delà de l’apologie du “rassemblement” pour chasser un président, étant assuré que l’on aura le même à la suite de l’opération et peut-être pire, si faire se peut. Le mot “communisme” relevant alors d’un vague idéal moral étayé à grand coups de citations, une sorte d’Almanach Vermot de la culture qui ravirait Bachelot. Ce communisme là, qui économise but et moyens est lui autorisé comme un supplément d’âme théorique, mais on lui préfère son amputation “le commun”. D’ailleurs si ce mot subsiste ce n’est pas faute d’avoir essayé à chaque congrès de le supprimer en tant qu’associé à celui de parti et Français, ce qui s’est heurté à un réflexe de refus de la base.

Tout cela est bien étrange, pourquoi un tel acharnement? comment tenter de le comprendre? …

D’abord pour sensibiliser à la question,je vous conseille de lire l’article publié aujourd’hui dans histoire et societe dans lequel un intellectuel Chinois vivant au Canada découvre Franz Fanon et la manière dont l’impérialisme obligé par “l’assimilation” les immigrés de la seconde génération chinoise à devenir les meilleurs agents de l’attaque contre le socialisme de leur pays d”origine.

S’interroger sur le processus d’assimilation qu’ont subi les communistes français a le mérite d’insister sur la dimension de classe de toute assimilation alors qu’un des pièges de l’impérialisme est de limiter la dite assimilation à une dimension culturelle voir raciste. Le cas qui peut l’illustrer est celui de l’imbécile débat sur “mixité et non mixité” dont on se demande qui est le plus insupportable de ceux qui sont pour et ceux qui sont contre mais il suffit de voir qu’il aboutit à donner les moyens de renforcer la répression conservatrice contre un syndicat quel que soit les limites de son expression. Il en est ainsi de tout débat racialisant les questions de classe, leurs effets retombent toujours en faveur de la répression capitaliste et de la division des travailleurs.

Donc retrouvons la dimension de classe dans une société de classe y compris pour dénoncer le racisme, l’antisémitisme et toutes les xénophobies, les stigmatisations de genre, l’ignorer c’est à la fin renforcer l’autoritarisme, le conservatisme dans l’étape de la société capitaliste dans laquelle nous sommes.

Il y aurait trois stades à cette assimilation, la première consiste à vouloir se faire accepter en se montrant le meilleur dans les valeurs supposées de la dite société.Valeurs proclamée qui nie les faits, les pillages, le sous développement entretenu, mais met en avant son excellence démocratique, son humanisme, son suprématisme… le fin du fin est d’opposer ces valeurs à celles de contrainte et de dictature de la société dont l’individu est issu. ce dernier pour participer de l'”élite” doit distinguer le peuple chinois “opprimé” et son gouvernement autocrate. Mais au lieu d’en retirer les bénéfices escomptés, le jeune chinois s’aperçoit qu’il ne sera jamais considéré comme les autres alors lui vient un vague souvenir de ses origines et il en fait dans un premier temps un bazar de pacotille, du folklore identitaire. Seule la troisième prise de conscience, celle de la nature de l’aliénation de l’assimilation impérialiste permet de retrouver non seulement l’identité individuelle mais collective. du pays d’accueil comme celui d’origine.

Les communistes s’y reconnaitront je pense. Il suffit de se souvenir de quelques interventions de journalistes de l’humanité cherchant à se faire accepter sur les plateaux de télévision ou du pilonnage de propagande subi depuis plus de trente ans non seulement sur Staline, mais à partir de là sur Lénine et désormais sur Marx que l’on castre, on les efface, les rend illisibles. Le tout au profit de Jaurès dont le plus grand mérite fut la cause pour laquelle il mourut et son choix d’aller aux jacobins s’asseoir aux côtés de Robespierre. Encore que Robespierre lui-même sente le soufre, parce qu’il a osé défier la toute puissance des riches, au sein même de ceux dont la logique de classe était de s’enrichir, en revanche on ne trouve rien à redire à Olympe de Gouges qui est pourtant une sacrée réactionnaire. Le processus d’assimilation se présente comme une dérive vers la social démocratie mais sur le fond ce sont les finalités de l’impérialisme contre son propre camp ses origines qui sont imposées.

Ces assimilationnistes n’ont pas ménagé leurs efforts, toute la formation des militants, toute la production idéologique, toute la presse du parti a été orientée vers la négation du socialisme, de ses expériences et le concept lui-même a été frappé d’interdit. Ceux qui osaient en parler étaient censurés et comme la censure ne faisait que redoubler celle de la presse bourgeoise elle devenait de plus en plus “normale”. Ceux qui se débattaient encore étaient des “staliniens”, voir des fous…

Malgré tous ces efforts d’assimilation le communiste se sentait de moins en moins accepté. La plainte la plus fréquente du communiste en voie d’assimilation, celui que l’on a convaincu de l’inutilité de l’intervention populaire et surtout de la sienne propre, est “les médias nous font beaucoup de tort”. Oui le reniement ne paye pas, pourtant la seule issue envisagée est comme dans l’ensemble de la société, de poursuivre sur la même voie, plus loin encore… Le communiste de base, celui qui a survécu à la saignée qui a fait passer de 700.00 à 50.000, devenu une conscience malheureuse de l’assimilation à l’impérialisme, a du mal à s’y faire…A l’inverse de ses chefs bénéficiant de la vente des bijoux de famille, et de postes confortables, il n’aime pas du tout être méprisé, il estime ne pas l’avoir mérité . Le communiste grugé commence à rechercher des gadgets identitaires et il faudra du temps pour passer de là à la conscience révolutionnaire, mais c’est un pas important. Le tout bien sur avance avec d’autant plus de difficulté que les “assimilateurs” en chef, ceux qui se proclament au sein du parti”les défenseurs de la diversité” donc de la valeur suprême de l’assimilation :la démocratie – quitte à la bafouer sans état d’âme en pratiquant une censure impitoyable sur les communistes non assimilationnistes – font tout pour entretenir l’inertie, et ils en arrivent même à nier les choix du Congrès au nom de cette “démocratie”.

Chacun s’y reconnaitra et peut prolonger l’analogie. Mais il faudrait faire un peu de théorie et si l’on considère ce que Marx emprunte à Hegel, le renverse, pour passer du mot au concept révolutionnaire.

Cet étrange impossibilité à dire le mot socialisme prouve que nous avons là un concept révolutionnaire et pas un simple mot, peut-être parce qu’il transforme justement la pseudo démocratie bourgeoise en sa vérité, la dictature d’une minorité de possédants sur la majorité et qu’avec Marx et l”expérience de la commune, il en déduit la nécessité de pousser la démocratie jusqu’au bout c’est-à-dire la dictature du prolétariat, dictature de la majorité sur une minorité de possédants. Parce qu’il propose de s’intéresser à la nature de l’État alors même que le notre perd de plus en plus ses fonctions redistributrices, ses services publics et renforce ses aspects autoritaires? etc… Et puisqu’il est question de l’État et de la Révolution, on évite difficilement la réflexion sur le parti nécessaire…

Passer d’un mot à un concept c’est replacer le mot dans tout un appareil conceptuel, une théorie et c’est là où Marx préfère l’idéalisme de Hegel au matérialisme vulgaire, au pseudo positivisme.

Si Hegel était un idéaliste vulgaire pour qui le mot prend la place de la chose Marx, Lénine et tant d’autres ne s’y seraient pas intéressés. Hegel comme tous les grands théoriciens se crée un langage et “l’idée” chez lui n’a pas grand chose à voir avec “c’est vos idées”, une opinion triviale”. Comme on dirait vulgairement : vous êtes pour le socialisme” sans que cet énoncé n’ait pas plus de valeur que” j’aime les hamburgers”. Non il affirme que son langage est LOGOS activité de raison caractéristique du genre humain. Parce que l’idée devenue concept est prise dans le mouvement historique de la pensée et de l’action, il ne s’agit plus de l’abstraction d’un mot comme le considère le linguiste, mais il est pris dans le concret et il vit.

Quand on daigne vous annoncer la définition du concept de communisme comme le mouvement qui change l’ordre des choses existantes, on fait référence justement à ce que Marx emprunte à Hegel : le mouvement historique de la pensée et de l’action unie pour la révolution.

Ce qui rend le texte de Delaunay sur le socialisme que nous avons publié hier tout à fait percutant c’est qu’il montre comment le concept de “socialisme” vit non seulement d’une manière interne en unissant des oppositions fragmentées ou plutôt que le capitalisme fragmente,mais il vit par rapport aux enjeux historiques d’aujourd’hui. Le passé n’est pas simplement ce qui n’est plus aujourd’hui mais il est aussi ce qui travaille l’avenir. Tandis que des concepts hérités d’une période antérieure, celle du triomphe de la bourgeoisie en semblent se fissurer, perdre leur capacité unificatrice on le voit au niveau des représentations et des églises, des appareils, le socialisme recrée les conditions de l’unification et l’attitude des gouvernements socialistes comme des citoyens, durant l’épidémie en est la preuve la plus manifeste.

Je vous conseille donc pour prolonger cette réflexion de vous interroger sur le fait assez étrange de cette interdiction du concept de socialisme : est-ce que la justification par laquelle est porté l’interdit “le socialisme a accompli des crimes et on ne doit plus en parler” relève d’une analyse réelle concrète, ou d’un processus d’assimilation ? est-ce qu’il permet comme le montre Delaunay de comprendre la réalité, “la vérité” de ce qui se présente aujourd’hui dans le concret de nos vies autant que dans celui des défis planétaires auxquels l’humanité est confrontée? Est-ce que le refuser au nom de rassemblements de plus en plus vides de toute issue est capable de donner sa finalité, ses buts, ses moyens à l’activité des communistes ?

Parfois certes, il suffit de se dire : ces gens là ne nous mènent nulle part qu’à la répétition d’une situation de plus en plus insupportable… Ils font monter l’abstention, le découragement, divisent ce que tout devrait unir et donc font de la minorité capitaliste qui elle n’est pas divisée les maitres de nos vies, est amplement suffisant pour la prise de conscience. Mais puisque les assimilationnistes, les défenseurs de la “diversité” s’amusent à nous la jouer théorie avec leurs flonflons “communistes” et leur censure y compris du marxisme voilà ce que je voulais dire sur la censure des concepts… Histoire et société est là pour ça…

Histoire et société s’adresse à tous les communistes et pas seulement à ceux qui demeurent au PCF, l’intéressant de cette réflexion – et il faudra bien l’aborder un jour- pourquoi l’enjeu demeure l’évolution de la conscience malheureuse de ceux qui préparent ce congrès et une candidature à la présidentielle ?

Danielle Bleitrach

(1) Baran qui n’a pas été marqué par une adhésion quelconque et qui découvre ces querelles byzantines est nettement plus direct…

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2 Commentaires

  • Xuan

    Les pages de l’Humanité continuent de célébrer la Commune, mais Engels en disait :

    Le philistin social-démocrate a été récemment saisi d’une terreur salutaire en entendant prononcer le mot de dictature du prolétariat. Eh bien, messieurs, voulez-vous savoir de quoi cette dictature a l’air ? Regardez la Commune de Paris. C’était la dictature du prolétariat.

                                                                                                                                   

    Il est étonnant de voir le soin et le raffinement avec lesquels le concept de socialisme passe sous le tapis.

     

    •  Le «dépassement » du capitalisme devient un saut vers l’inconnu. A chacun d’établir le programme de ce non-dit : l’auberge espagnole, creuset des accords électoraux sans principes
    •  Autre version : le communisme est « déjà là », un « déjà là » volé au paradis perdu des trente glorieuses vers lequel il suffirait de faire machine arrière. Mais comme le dit Jean-Claude, le capital financier s’est imposé partout et doit gratter le profit dans chaque recoin. J’ajouterai qu’il est bien loin aussi le temps des colonies et que le premier choc pétrolier a clos ces trente années.
    •   Ou encore : ce communisme est pour demain, zappant le socialisme qui fait tache, dans une société où les capitalistes sont déjà devenus des frères, sans qu’il fût nécessaire de les contraindre en aucune façon ni à aucun moment : Fourier 2021 en quelque sorte.

    En fait de « communisme » il n’en reste que le rêve, débarrassé de tout contrainte réelle, dans un monde de Bisounours.

    Frappante aussi, l’absence d’invention des révisionnistes du marxisme, qui reproduisent le « socialisme petit-bourgeois » ou « le socialisme conservateur ou bourgeois » décrits par Marx dans le Manifeste :

     

    « …Dans les pays où s’épanouit la civilisation moderne, il s’est formé une nouvelle classe de petits bourgeois qui oscille entre le prolétariat et la bourgeoisie; fraction complémentaire de la société bourgeoise, elle se reconstitue sans cesse; mais, par suite de la concurrence, les individus qui la composent se trouvent sans cesse précipités dans le prolétariat, et, qui plus est, avec le développement progressif de la grande industrie, ils voient approcher l’heure où ils disparaîtront totalement en tant que fraction autonome de la société moderne, et seront remplacés dans le commerce, la manufacture et l’agriculture par des contremaîtres et des employés.

    Dans les pays comme la France, où les paysans forment bien plus de la moitié de la population, il est naturel que des écrivains qui prenaient fait et cause pour le prolétariat contre la bourgeoisie aient appliqué à leur critique du régime bourgeois des critères petits-bourgeois et paysans et qu’ils aient pris parti pour les ouvriers du point de vue de la petite bourgeoisie. Ainsi, se forma le socialisme petit-bourgeois… »

     

    …« La bourgeoisie; comme de juste, se représente le monde où elle domine comme le meilleur des mondes. Le socialisme bourgeois systématise plus ou moins à fond cette représentation consolante. Lorsqu’il somme le prolétariat de réaliser ses systèmes et d’entrer dans la nouvelle Jérusalem, il ne fait que l’inviter, au fond, à s’en tenir à la société actuelle, mais à se débarrasser de la conception haineuse qu’il s’en fait. ..» [K. Marx – le Manifeste du Parti Communiste]

     

     

    Relisons le Manifeste du Parti Communiste !

    Répondre
  • Daniel Arias
    Daniel Arias

    Ecoeurement !
    Ce matin sur LCP :
    https://lcp.fr/programmes/lcp-le-mag/histoires-communistes-33570

    Comment peut-on se dire communiste et cautionner ce type de propagande ?
    Ces militants pour la paix au Vietnam, guerre impérialiste qui a fait plus de 3 millions de morts, après la guerre de Corée, indignés des événement en Tchécoslovaquie qui à fait 76 morts sans analyse, laissant entendre que l’URSS était impérialiste.
    Cette Union Soviétique qui a donné les moyens de libération à des peuples dans le monde entier, puis formé leurs cadres, leurs médecins, y compris venant de l’île de la Réunion.
    Condamnation du stalinisme qui à brisé le III Reich et la mondialisation fasciste, seul pays ayant armé les républicains espagnols.
    Plus loin les luttes féministes opposées à la lutte pour le socialisme, presque à ressentir cette dernière comme une entrave à la libération des femmes.

    En Union Soviétique les femmes ont acquis des droits dès les premières années de la Révolution. Combien d’héroïnes compte ce pays, de celles qui ont participé d’égal aux hommes aux combats lors de la grande guerre patriotique, dans l’aviation jusqu’à Berlin, dans les unités d’élite à Sébastopol.
    Quel hommage aux femmes dans l’art Soviétique, la kolkhozienne égale à l’ouvrier, comme la terre donnant la vie et nourricière mais pas réduite à ce seule rôle.
    Dans ce pays où les femmes en une seule génération ont acquis un niveau d’éducation formant des millions d’enseignantes, médecins, ingénieurs, cadre dans l’industrie, chercheurs, ouvrières, cosmonautes.

    “Nous avions une section, avec un journal que nous n’avons plus !” Il faut tout de même oser dire cela devant des propagandistes qui vont user de ses témoignages. Quel manque d’intelligence, pourvu que l’égo soit flatté.

    1981, marqué comme le tournant, là encore sans analyse, la remorque du PS.
    Je me souviens de cette soirée j’étais gamin et chez moi une bonne partie de la cellule c’était réunie, des camarades disaient on a gagné, et là soudain mon père a crié : “Una victoria de MIERDA !” laissant place un moment de silence.

    Puis avec la chute du mur, condamnation des pays de l’Est à peine voilée, juste regret que le changement ne soit pas moins brutal ! Cette démocratie qui permettra aux nazis de manifester librement dans toute l’Europe.
    Plus tard des enfants dormiront dans les rues de Moscou, drogués, prostitués, dans cette liberté et démocratie retrouvée, leurs mères peut être assassinées ou condamnées aux bordels ,en Roumanie on assassinera les dirigeants qui en avaient fait un pays souverain, les étudiants se révolteront mais seront attaqués par des syndicats manipulés, puis ces étudiants et toutes les forces vivent fuiront la Roumanie, des ingénieurs iront faire chauffeur de poids lourds, les gens du voyage tomberont dans la misère comme un tiers de la population roumaine, vol, crimes, trafics. Le système de santé sera détruit et leurs médecin viendront dans nos hôpitaux sans que ce pillage ne soit dénoncé.
    Des millions de femmes autre fois libres iront se prostituer dans les bordels d’Europe des démocraties allemandes, espagnoles, néerlandaise, ou la pourriture peut librement circuler…
    Puis viendra la destruction de la Yougoslavie, impensable avec le pacte de Varsovie, tout comme la longue descente vers la barbarie du peuple afghan.

    Puis l’échec en 2007, là encore sans analyse de l’aventure des collectifs anti libéraux qui ont divisé les camarades dans des querelles stériles.

    Contrairement à eux j’ai deux générations de militants communistes avant moi, j’ai toujours été écœuré par ses critiques stériles et anti communistes sur ceux qui ont eu le courage de réaliser la première nation socialiste au monde, et quelle belle nation !

    Oui bien sur tout n’y était pas parfait, mais il faut voir cette expérience dans sa globalité et ce qu’elle a apporté à l’Humanité, dans la pratique et la théorie, la libération d’une énergie jamais vue avant, passage de l’araire à spoutnik en 30 ans.

    Oui il faut analyser, critiquer pour en tirer des leçons pas pour détruire.

    Marre de tous ces fossoyeurs qui sapent le PCF !
    Ce reportage date de septembre 2020, avec les connaissances nouvelles que nous avons sur les événements cités et la nouvelle guerre froide.
    Ils insultent tous ceux qui sont tombés pour la cause, ces millions d’immortels, célèbres et anonymes.

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