Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Xi Jinping, Gouverner la Chine – Volume III

Voici une très éclairante analyse du dirigeant du parti communiste italien sur le socialisme de marché, la manière dont pour reprendre l’expression de Marx emprunté à Hegel, le capitalisme est laissé en tant que classe dans “l’en-soi” mais celle-ci n’est jamais une classe “pour soi”, l’activité privée (chinoise et étrangère) est autorisée et même encouragée mais ce n’est pas ce secteur privé qui a en main les leviers fondamentaux de l’économie et il lui est interdit de conditionner le pouvoir politique. A partir d’une recension des textes de Xi publiés sur la question, il y a là un décryptage tout à fait passionnant du socialisme de marché. Par ailleurs nous publions une illustration par le quotidien Nikkei de la manière dont se réalise cette mise au pas. Ceci nous permet de répondre à la question de la définition du socialisme qui nous est souvent posée, le socialisme suppose non seulement une part déterminante de la propriété collective des moyens de production mais un pouvoir politique, un état, des collectivités locales, des institutions financières capables d’empêcher le capital d’imposer ses finalités au reste de la société (note de Danielle Bleitrach, traduction de Marianne Dunlop).

https://www.marx21.it/index.php/cultura/libri/30828-xi-jinping-governare-la-cina–iii-volume

Nous recevons de Marco Rizzo, secrétaire du Parti communiste, cette critique sur le livre du président chinois Xi Jinping. Nous remercions l’auteur et publions avec plaisir.

La recension de Marco Rizzo, secrétaire général du Parti communiste en Italie, a été publiée dans deux magazines du gouvernement chinois.



Ce volume rassemble, organisés par thèmes, quelques discours du président de la République populaire de Chine et secrétaire général du Parti communiste chinois, Xi Jinping, allant de 2017 à janvier 2020. 


Le titre nous fait déjà comprendre à quel point la problématique que nous avons devant nous est gigantesque. 


La Chine est le pays le plus peuplé du monde. Près de 1,3 milliard de personnes ont été recensées l’année dernière. Pour le produit intérieur brut (année 2018), il est le deuxième pays (13092,70 milliards de dollars) après les États-Unis (20510,60 milliards de dollars), loin devant le troisième (Japon : 5070,27 milliards de dollars) et le quatrième (Allemagne : 4 029,14 milliards de dollars). Mais compte tenu du PIB à parité de pouvoir d’achat, la Chine est de loin la première nation du monde (27 308,86 milliards de dollars), devançant l’ensemble de l’Union européenne (22 774,16 milliards de dollars) et les États-Unis (21 439,45 milliards de dollars).


En regardant ces données en perspective, nous savons bien comment ces dernières années ont été un crescendo imparable. Rien que de 2017 au deuxième trimestre de 2019 les augmentations (bien qu’en baisse) vont de 6,9 ​​à 6%. De plus, si le premier trimestre enregistrera une baisse de 6,8%, cependant plus limitée que dans tous les autres pays, une reprise de 3,2% est attendue au second semestre. En d’autres termes, l’économie chinoise récupérera plus rapidement que tous les autres pays les dommages causés par le confinement et la récession économique qui en résulte. 

Les observateurs économiques sont émerveillés par ces résultats et les économistes se démènent pour expliquer des phénomènes qui font exploser les théories que la pensée universitaire occidentale considérait comme acquises depuis des décennies. 



Qu’est-ce que la Chine? 

Ceux qui se sont sérieusement intéressés à ce pays depuis le plus  de temps semblent le moins capables de répondre à cette question. Aussi parce que, malgré des traits millénaires de continuité, la Chine moderne est un pays qui évolue à un rythme inconnu de toute l’humanité. 

On peut se demander : comment vont les choses en Chine? Ou plutôt, comment est le citoyen normal? Et les plus défavorisés? Les dirigeants chinois ne cachent pas les fortes inégalités qui affligent le pays, entre ville et campagne, terres côtières et arrière-pays, richesse et pauvreté résiduelle. Mais ils affirment qu’elles sont effectivement affrontées et combattues. Les dirigeants ne cachent pas la présence de phénomènes modernes qui affligent la majeure partie de l’humanité : pollution, corruption. Mais ils entreprennent des efforts visibles et concrets pour y remédier et les résoudre. 

Pourquoi livrons-nous ces considérations qui ne semblent pas pertinentes pour les articles du président chinois? Parce que nous voulons inviter le lecteur de cet important troisième volume à aborder ce monde avec détachement, avec un esprit serein, à regarder ce monde éloigné de nous avec impartialité et à se forger sa propre idée, qu’elle soit favorable ou défavorable.  

Après avoir brisé le long embargo diplomatique et commercial qui visait à étouffer économiquement la République populaire, les dirigeants chinois ont ouvert leur économie aux règles du libre marché international, qui, dans leur essence, réintroduisent l’exploitation capitaliste. En fait, la métaphore de Deng Xiaoping à cet égard est connue, quand il a dit que l’ouverture des fenêtres de la maison permettait de changer l’air, mais il y avait aussi le risque de laisser entrer les mouches. 

Cependant, afin de réduire l’écart technologique et de production avec les autres pays de la planète et rendre possible un développement économique qui permette de sortir plus de 700 millions de personnes de la pauvreté, la Chine a décidé d’emprunter cette voie. 

Le défi aujourd’hui est de régir ces aspects contradictoires et de faire du parti (et non des intérêts économiques) l’arbitre et le décideur des intérêts de la nation et du peuple chinois. Et il semble que de ce point de vue il y ait une pleine prise de conscience, comme le montre l’intérêt pour la présence des structures du parti dans les entreprises privées (y compris étrangères) et dans l’organisation des cellules du parti, ainsi que la centralité totale du parti dans la définition du plan économique et son leadership complet dans la société chinoise.

Cependant, la Chine représente aujourd’hui un pays qui a tout intérêt à garantir la paix et à prévenir la guerre, à la fois à l’échelle régionale et encore plus à l’échelle mondiale. Et de cela, nous ne pouvons que nous réjouir. 

Les problèmes posés par le président Xi Jinping ne sont ni triviaux ni simples à accepter ou à réfuter. Ils concernent une très large tranche de la population mondiale et impliqueront de plus en plus le reste de l’humanité.

C’est une réalité historique qui ne peut être ni cachée ni arrêtée par la force. 

Dans le premier article, le plus long de ceux présentés, le Rapport au 19e Congrès national du Parti communiste chinois, au paragraphe V – Appliquer une nouvelle vision du développement et développer une économie modernisée, p. 35 on peut lire: 

«5. Accélérer les efforts pour améliorer l’économie de marché socialiste.


Nous devons garantir la libre circulation des facteurs, des prix flexibles, une concurrence juste et ordonnée, et que le sort des entreprises soit déterminé par la concurrence. 

Nous améliorerons les systèmes de gestion des différents types d’actifs de l’État et réformerons le système d’octroi de licences pour les opérations de capitaux de l’État. Dans les secteurs publics, nous intensifierons l’amélioration de la distribution, les ajustements structurels et la réorganisation stratégique. Nous travaillerons pour garantir que les ressources de l’État maintiennent et augmentent leur valeur; nous soutiendrons le capital de l’État pour qu’il devienne plus fort, pour mieux faire et pour croître davantage et pour prendre des mesures efficaces afin d’éviter les pertes de ressources étatiques. »

Il est difficile de décrire de manière plus concise la double voie sur laquelle évolue l’économie chinoise, définie plastiquement par le terme d’économie de marché socialiste.

Dans ce contexte, nous observons comment l’État effectue une double tâche. Dans un premier temps, un mécanisme de développement efficace est mis en place, l’État ayant le rôle de surveillant, d’arbitre du jeu, qui impose les règles du marché précisément pour qu’il puisse agir efficacement mais sans être débordé. Dans la deuxième phrase, l’accent est mis sur le rôle de l’État, non seulement en tant que régulateur comme nous avons vu auparavant, mais en tant qu’acteur économique. 

Dans la Chine contemporaine, le mécanisme d’allocation des ressources est en effet laissé au marché, mais le marché n’est pas le même que celui que l’on trouve en Occident. L’État y agit à la première personne par l’intermédiaire de ses sociétés et de ses terminaux et est régi par des lois rédigées par le Parti communiste et liées par le plan quinquennal. 

L’activité privée (chinoise et étrangère) est donc autorisée, mais ce n’est pas le secteur privé qui a en main les leviers fondamentaux de l’économie et il n’est pas en mesure de conditionner le pouvoir politique. 

C’est précisément l’absence de ces mécanismes qui caractérisent le marché dans les pays capitalistes, et surtout la capacité de planifier et de gouverner l’économie a déterminé une plus grande efficacité du système chinois.

Nous voulons également mentionner un passage à la p. 42 dans lequel sont mentionnés les autres partis politiques présents en Chine et qui sont l’héritage de l’histoire de la révolution chinoise. Cela suscitera l’étonnement des lecteurs occidentaux, mais c’est la vérité. En Chine, il existe d’autres partis politiques qui «participent à la gouvernance» du pays. Naturellement, ces partis acceptent les axes fondamentaux de la République que sont le système socialiste, au sens concrètement délimité par le Parti communiste.


Toujours dans le même rapport, paragraphe VII – Construire une solidité culturelle plus forte et contribuer à l’épanouissement de la culture socialiste, nous lisons à la p. 44:

« 1. Maintenir la position dominante dans le travail idéologique

L’idéologie détermine la direction qu’une culture doit prendre et la voie qu’elle doit suivre pour se développer. Nous devons continuer à adapter le marxisme aux conditions chinoises, à le mettre à jour et à améliorer son attrait populaire. Nous développerons une idéologie socialiste qui ait la capacité d’unir et le pouvoir d’inciter les gens à adopter des idéaux, des croyances, des valeurs et des références morales partagées. Nous nous armerons de la théorie et augmenterons l’attrait public de la pensée socialiste aux caractéristiques chinoises pour une nouvelle ère. Nous allons travailler dur pour étudier et développer la théorie marxiste, travailler plus vite pour développer la philosophie et les sciences sociales aux caractéristiques chinoises et développer un nouveau type de pensée aux caractéristiques chinoises.» 

Il est difficile pour nous Occidentaux de comprendre ce qu’est un marxisme aux caractéristiques chinoises.

Il est clair que l’application du marxisme est toujours laissée entre les mains des personnes qui l’ont adopté. La clé de la compréhension réside dans l’alliance que les classes en Chine ont développée. Si ces classes, si différenciées qu’elles soient, sont toutes soumises à l’harmonie que la société doit réguler, la contradiction n’est pas éliminée, mais gérée. Cette pensée était déjà contenue chez Mao lorsqu’il parlait de contradictions antagonistes et non antagonistes. Le défi est d’amener l’idéologie dans la contradiction (non antagoniste) et de trouver une synthèse.  

Cette alliance est représentée iconographiquement par les quatre étoiles du drapeau national qui entourent la plus grande étoile qui est le Parti communiste.Dans la tradition maoïste, ces étoiles représentaient les ouvriers, les paysans, les étudiants et les soldats.

Un autre point sur lequel nous voulons attirer l’attention du lecteur se trouve dans le discours prononcé à la quatrième session plénière du 19e Comité central du Parti communiste chinois. Nous lisons à la page 136:

« Le 19e Congrès national du PCC en 2017 a déterminé comme objectif principal pour le milieu du siècle le développement de la Chine en un grand pays socialiste moderne, qui soit prospère, fort, démocratique, culturellement avancé, harmonieux et beau… »

On ne peut refuser à la Chine le retour à la première place dans le monde qu’elle occupait depuis des siècles. Ce rôle, cependant, ne veut pas être usurpé, mais veut être mérité par un effort collectif qui rende le pays digne de cette place. Pour ce faire, la Chine ne peut qu’avancer sur la voie de la modernisation. Sans éliminer le sous-développement, il n’est pas possible d’envisager d’atteindre ne serait-ce qu’un seul de ces objectifs.

La Chine et le reste du monde 

Si nous avons vu jusqu’ici comment la Chine se voit elle-même, voyons maintenant comment elle se présente au reste du monde. 

Dans le discours de la cérémonie d’ouverture du Forum de Bo’ao pour la Conférence annuelle asiatique 2018, nous lisons à la p. 228 :

«Quels que soient les progrès réalisés par la Chine, nous ne menacerons personne, nous n’essaierons pas de renverser le système international actuel, ni ne chercherons de sphères d’influence. La Chine restera déterminée, comme toujours, à construire un monde de paix, à contribuer à la prospérité mondiale et à faire respecter l’ordre mondial ». 

C’est l’étoile polaire de la politique étrangère de la Chine. Je pense qu’il y a de fortes raisons de se fier à la sincérité de cette proposition. Je ne veux pas faire appel à des considérations abstraites, morales ou même philosophiques.

La Chine a tout à gagner à jouer franc-jeu. Elle a pour elle son histoire, sa force démographique et économique et une organisation politique suffisamment centralisée qui lui permet de faire face à n’importe quel défi d’une manière mieux armée que quiconque. Si davantage de preuves étaient nécessaires, la gestion de la pandémie l’a prouvé au-delà de tout doute raisonnable.


De ce point de vue, il est singulier d’entendre parfois un langage tellement similaire à celui de nos dirigeants occidentaux, qui ensuite réclament des sanctions ou sèment les guerres et la destruction à travers le monde. Il est singulier que les champions de “l’initiative du marché libre” invoquent les tarifs et attaquent les mesures chinoises comme des “aides d’État faussant la concurrence”, alors qu’ils sont les premiers à se retrancher dans une économie protectionniste des privilèges les plus inefficaces, comme ceux des grands monopoles internationaux. 

Il est singulier que nous allions chercher la paille dans les yeux du problème écologique incontestablement grave qui afflige la société chinoise, alors que ce sont les grandes multinationales occidentales qui sont responsables de la plus grande part de la pollution de notre planète, à commencer par les forces armées des États-Unis et de l’OTAN. Il est singulier que ce soient les États-Unis qui taxent la Chine d'”expansionnisme” quand ils assiègent les côtes chinoises avec leur flotte. 

Et encore : 

«Dans un monde où la mondialisation est de plus en plus profonde, poursuivre laloi de la jungleetle gagnant prend toutne mène nulle part. La croissance inclusive est la bonne façon d’aller de l’avant. Les pays doivent surmonter les différences et tirer parti de leurs atouts respectifs pour poursuivre une croissance inclusive face aux risques et défis communs ».

Il nous semble que cet objectif a une signification profonde sur laquelle les pays du monde entier et les “personnes de bonne volonté” devraient réfléchir.

Répétons-le : les Chinois ont été habitués au commerce pendant plusieurs siècles, bien avant nous. À l’heure actuelle, ils savent que l’histoire travaille pour eux. Que l’affrontement incessant dans lequel l’administration américaine, quel que soit le maître de la Maison Blanche, entraîne le monde est non seulement sacrément dangereux, mais ne peut qu’apporter des souffrances inutiles, en particulier aux couches les plus faibles de l’humanité, comme cela se produit déjà aujourd’hui. 

Nous laissons au lecteur la découverte du reste du rapport qui mérite une étude plus approfondie. 

Avec cette recension – sur le socialisme de marché, le marxisme, les modernisations – nous ne souhaitons pas exprimer une présentation non critique de cette pensée et de cette politique. Nous espérons avoir donné une interprétation, aussi honnête que possible, de ce qui est proposé par la direction chinoise. 

La Chine n’a aucun intérêt aujourd’hui à se proposer comme le moteur de la révolution communiste dans le monde. Elle entretient des relations avec plus d’une centaine de partis communistes, dont le nôtre, mais ne montre aucun intérêt à se proposer ni comme partie ni encore moins comme guide d’une nouvelle Internationale communiste. 

Plus de 70 ans après sa fondation, la République populaire de Chine a accompli un énorme chemin en termes d’économie et de vie sociale. Cela a été possible grâce à la direction ferme du Parti communiste et de sa classe dirigeante qui a développé la théorie du socialisme aux caractéristiques chinoises, qui a été enrichie par l’expérience concrète du gouvernement de la nation la plus peuplée du monde avec l’utilisation du marxisme et avec la contribution théorique de ses dirigeants. 

Le développement créatif des théories socialistes, basées sur le marxisme-léninisme, la pensée de Mao Zedong, la théorie de Deng Xiaoping, la contribution de Jiang Zemin et Hu Jintao, la pensée du socialisme chinois entrant dans une nouvelle ère de Xi Jinping, ont enrichi le bagage théorique des communistes chinois avec des armes essentielles pour la bataille politique de défense du socialisme. Plus encore aujourd’hui, alors que les États-Unis visent la confrontation américano-chinoise comme un élément de pression avec la volonté de renverser (ou du moins de freiner) la République populaire de Chine. 


La crise économique qui sévit dans la classe ouvrière des pays capitalistes et les effets de la pandémie de Covid-19 nous disent la tentative de l’impérialisme américain et des secteurs les plus conservateurs et réactionnaires du monde d’empêcher un débouché progressif pour l’humanité.

Pour ces raisons, la compréhension de la pensée des communistes chinois, une compréhension basée sur les faits, et non sur les caricatures véhiculées par le système médiatique occidental, devient fondamentale aujourd’hui, non pas pour mesurer le degré de proximité ou de distance avec la nôtre, mais pour avoir une perception précise de ce qui se passe dans le monde et contrer efficacement l’approche impérialiste américaine et son désir d’une domination incontestée sur les peuples du monde entier.


Les liens de la revue publiée aujourd’hui dans les deux magazines du gouvernement chinois

http://esperanto.china.org.cn/2020-10/23/content_76837302.htm 

http://espero.chinareports.org.cn/2020-10/23/ content_76837234.htm

Note de la traductrice (Marianne Dunlop) : les deux liens ci-dessus renvoient à des traductions en Espéranto, et d’ailleurs j’ai eu connaissance du texte de Marco Rizzo grâce à la Communauté Communiste Espérantiste Mondiale. Pietro Fiocchi, qui m’a envoyé le lien vers le texte original italien (et qui connaît bien notre blog ainsi que nos livres sur l’Ukraine et la Russie) m’écrit ceci : Artikoloj kaj intervjuoj kun la ĝen. sek. pri la 3-a volumo aperis jam en la Corriere della Sera kaj Affari Italiani, du gravaj italaj ĵurnaloj, tamen itala gazetaro c’est nul! En la Corriere della Sera la ĵurnalistino kiu intervjuis la ĝen sek. Marco Rizzo nomis Xi Jinping “la ĉina diktatoro” anstataŭ ol “la ĉina prezidanto”… tio estas eta indiko de kiel la italaj institucioj, ĵurnaloj ktp rilatas sin al la ekstera mondo. En bref : « Deux grands journaux italiens ont parlé de cette critique du livre de Xi Jinping, mais… la journaliste du Corriere della Sera qui a interviewé Marco Rizzo appelle Xi Jinping”le dictateur chinois”. » Comme dit justement mon ami espérantiste : “c’est nul !”, en français dans le texte.

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