Une forme de continuité, même avec Biden. Quel que soit le soulagement que nous éprouvons-tous à voir l’insupportable Trump en voie de départ, imaginer qu’il y a là le prélude à un changement fondamental des USA serait illusoire. Nul ne nous interdit de guetter les camions de déménagement devant la maison blanche et d’avoir une envie forte d’aider Mélanie, mais entre cette impression et ce que nous pouvons attendre, il faut savoir raison garder. Ce prurit de soulagement semble une caractéristique profonde des sociétés occidentales chaque fois qu’elles se débarrassent de l’un de leurs dirigeants en pensant qu’il ne saurait y avoir pire. Le programme social, l’augmentation des impôts prévu par Biden ne changera pas plus que sa politique étrangère, il y aura simplement peut-être un peu plus de calme, enfin on peut toujours l’espérer tout en notant que les démocrates ont fait plus d’interventions militaires que Trump et ils seraient bien capable d’utiliser toutes les charges de dynamite qu’il a accumulées. Les programmes sociaux seront bloqués par le sénat et le complexe industrialo-militaire prospérera. C’est ce que disent les Bourses et les investisseurs qui montrent une tendance à la stabilité voir à une légère hausse. (note de Danielle Bleitrach pour histoire et societe)
“Normalement, l’incertitude politique et une hausse des marchés actions ne vont pas de pair mais certaines personnes considèrent que M. Biden ne sera pas en mesure de réaliser l’ensemble de son programme s’il éclipse Donald Trump dans la course à la Maison Blanche, dans la mesure où le Sénat devrait rester sous contrôle républicain”, explique M. Madden.
“L’élection américaine laisse penser qu’il va y avoir une cohabitation entre les démocrates et les républicains, du coup les investisseurs se disent qu’il va y avoir une politique très modérée aux États-Unis”, souligne Lara Nguyen, gérante privée à Fastea Capital.
Vues : 188
Mireille POPELIN
Moi, j’ai cru que j’avais changé de pays ( et ça continue) nous avons vécu à l’heure américaine soirée élections comme là-bas! Au point qu’une journaliste a dit ” notre pays” en parlant des USA , rectifiant le lapsus révélateur. je crois que notre travail révolutionnaire sera (aussi) d’apprendre à analyser les médias, à lutter contre cette propagande distillée à longueur de journée sans qu’il y ait UN SEUL grand média pour dire (comme Danielle) “bonnet blanc et blanc bonnet )
Papadopoulos georgesge
Aux dernieres nouvelles il semble que la fraude electorale a touche des sommets. Je n’ai nulle envie de dire tout ce que j’ai lu a ce sujet. Et Trump pourait etre declare vainqueur par le tribunal supreme. De toute maniere je m’en fout, mais je constate le delabrement avance des USA. Et comme l’a dit Jacques Duclos “blanc bonnet et bonnet blanc” est la meilleure facon de qualifier ces deux energumenes. Et je vais me faire plaisir en signalant qu’un candidat du parti communiste des USA a rassemble des milliers de voix dans un conte dont je n’ai pas retenu le nom. Et pour moi cela compte!.