Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

UNE FOIS POUR TOUTES QUE LES CHOSES SOIENT CLAIRES: A PROPOS DU PCF

un camarade me reproche que jamais le pCF ne trouve grâce à mes yeux. Voici ce que je lui réponds pour que les choses soient claires.

vous vous trompez, mais premièrement en matière internationale, sur laquelle j’ai quelque compétences, je ne vois pas de différence entre le PCF et le pS… Deuxièmement, plus encore ce n’est pas moi qui invente le fait que même la direction actuelle n’ose pas se référer au socialisme, ni défendre une autre société. Donc n’avoir aucune stratégie dans ce domaine, ce qui pose la question de l’utilité d’un parti communiste.


Au positif, ce qui le distingue des autres partis et qui n’est pas négligeable: Ses militants sont dévoués, son secrétaire national parait un homme honnête, c’est plus que la plupart des partis, et à ce titre son affaiblissement est un drame pour la France, pour le pays autant que pour les salariés, la jeunesse. Mais pour le reste ce n’est pas un parti communiste qui oeuvre au changement de société, au socialisme de notre temps, c’est un travailleur social collectif qui cherche à améliorer le capitalisme, lui reproche son caractère “immoral”. D’où l’importance qu’il accorde à un “mauvais usage” du capitalisme, l’évasion fiscale. Y a-t-il un capitalisme moral, honnête et respectueux des lois ? et que représente l’évasion fiscale par rapport au fonctionnement “normal” du capitalisme financier ? Faute de percevoir ce que représente réellement le capitalisme, la plupart des Français, volontiers fraudeurs se disent “c’est leur argent, ils en font ce qu’ils veulent” et ils ne se préoccupent plus que de broutilles, à savoir ce que gagnent les hommes politiques, parce que eux ils s’attaquent au bien public, ce qui est un thème de l’extrême-droite.

Donc je pense qu’il faut premièrement retourner vers l’entreprise, y reconstruire l’organisation détruite par Robert hue et ses successeurs. Ensuite, il faut aller plus loin dans nos analyse de ce qu’est le capital et améliorer la formation des militants… avec bien sur la question d’une presse adaptée à ces nouvelles pratiques.


Officiellement les communistes depuis le dernier congrès, dénoncent le “capitalisme”, mais sans jamais poser la question des nationalisations autrement que d’une manière périphérique, telle entreprise effectivement utile en temps d’épidémie.

Ni rompre avec l’uE, jusqu’à quand espérera-t-on la corriger? Espérer en faire l’union désintéressée des peuples, leur coopération… Là aussi le problème est moral, pas celui d’une analyse concrète d’une situation concrète sur ce qu’est l’UE et le capital… Jusqu’à quand en revanche, les dirigeants du PCF oseront-ils ne pas manifester notre solidarité avec les autres partis communistes et les forces qui résistent réellement au capitalisme? … Un refus qui nous déshonore et là encore, sur des bases “morales”,: dans l’assaut terrible qui leur est livré est-ce que le Venezuela respecte bien la démocratie, celle de l’occident bien sur? .. Et c’est au nom de cette “démocratie” qui s’accompagne de pillages, de blocus, de guerres, que nous ne nous sommes plus réellement opposés à toutes les invasions occidentales en Libye , en Syrie, cautionnant les interventions africaines.


Mais ces critiques étant faites, loin de stigmatiser les communistes, je suis d’accord pour participer à des mesures immédiates qui peuvent soulager les travailleurs, et dans ces mesures la présence du pCF me donne confiance, je sais que ce sera honnête et désintéressé… qu’ils n’auront pas une vision complotiste de leur action, que l’immense majorité est dénué de racisme, de xénophobie et qu’ils sont bienveillants, attentifs au sort des petits, des sans grade… Il voyaient encore il y a peu les souffrances des corps et de l’âme, et agissaient dans le concret. Ils étaient rudes mais attentifs…


Mais comment ne pas voir qu’il poursuivent sur leur lancée depuis plus de vingt ans, une absence totale de stratégie pour le socialisme, un isolement par rapport au mouvement communiste et anti-impérialiste, une soumission à la social démocratie sous toutes ses formes… et ils se condamnent eux-mêmes à l’effacement ce que je déplore mais constate.


C’est au contraire l’attente et l’espoir que j’ai dans ce parti qui me fait m’obstiner, parce qu’il n’y a rien d’autre en magasin, rien d’autre qui n’exaspère ses défauts sans avoir ses qualités.

Si j’étais jeune sans doute aurais-je plus de patience, mais à mon âge il vaut mieux que je me fasse une raison, il faudra du temps que je n’ai pas, donc il me faut poursuivre mon chemin intellectuel dans une certaine solitude. Pour vous dire mon renoncement, et à quel point il se débarrasse de la colère et de l’amertume: j’ai écrit des mémoires pour tenter de redonner aux communistes la fierté de leur parti et de l’histoire des communistes dans le monde. ce livre a connu une certaine audience, malgré la censure totale dont il a été victime de la part de la presse communiste et de tous les appareils encore liés à la diffusion des livres. j’ai souffert pourquoi le cacher de cette injustice, une de plus. Mais j’ai dépassé cela et même récemment ce qui me faisait plus mal encore, le fait que les cent ans du parti étaient laissés aux liquidateurs et aux trotskistes récemment adhérents qui à l’inverse des militants de terrain, des élus, ont beaucoup de temps pour ce genre de besogne. Je suis en train d’oublier que j’ai écris ce livre et je n’en parle plus.

Mais pour arriver à ce niveau de détachement et plus en core il faut vivre pleinement le temps auquel nous sommes confrontés. Un temps extraordinaire, dont les livres d’histoire feront un seuil et j’essaye de voir ce qui naît. Nous tentons ici avec Marianne de vous apporter le peu que nous découvrons…


Danielle Bleitrach

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23 Commentaires

  • Pédinielli
    Pédinielli

    Bonjour cette note me plait, mais il manque une chose importante, il y a encore dans le parti des dirigeants qui sont dans le climat d’avant le congrès. Pour conserver certain privilèges.

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  • Michel BEYER
    Michel BEYER

    Je suis un ancien membre du PCF. J’ai adhéré en 1962, au moment de la Guerre d’Algérie, considérant que c’était l’organisation politique qui se battait le mieux pour la Paix en Algérie. Je ne regrette pas cette adhésion, bien au contraire. Puis j’ai démissionné en 1989 ne supportant pas, à tort ou à raison, le “globalement positif” de G.MARCHAIS.
    Puis, bien que sans carte, j’ai continué à militer avec mes camarades du PCF. C’était ma maison. Puis j’ai réadhéré pour finalement redémissionné il y a 3 ans, ne supportant pas cette fois-là les positions européistes des dirigeants du Parti. 5 j’approuve la réflexion du camarade PEDINIELLI.
    Vous avez raison, je ne connais pas autour de moi, de communistes malhonnêtes.
    Vous avez fait le choix de reprendre votre carte au PCF. Vous espérez toujours des orientations conformes à ce que doit-être un grand Parti Communiste. Je ne vous blâmerais pas de persister.. Pour ma part je n’y crois pas.
    J’avais placé beaucoup d’espoirs dans le nouveau sécrétaire Fabien ROUSSEL. Aura-t-il la volonté et les moyens de changer les choses?……

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    • Daniel Arias
      Daniel Arias

      Ancien adhérent également, ce qui m’a fait quitter le Parti c’est 2012 et le tapis rouge pour l’opportuniste JLM, bien sûr avec l’accompagnement des idées libérales dont des cadres de la formation du parti faisaient la promotion. Et surtout la faible résistance des camarades à ce travail de sape, qui n’aurait pas résisté si l’on avait pris le temps de la réflexion et de l’analyse des résultats désastreux du Parti sous l’action inlassable des liquidateurs.
      Je n’ai aucune envie d’y retourner quand j’écoute les énormités que certains de nos dirigeants sortent, et quand les alliances avec nos ennemis sont encore faites aux municipales pour avoir une place dans laquelle ont choisira la couleur des fleurs.
      Et pourtant je sais bien que Danielle a raison, c’est la seule maison qui nous reste, le déchirement est pesant, d’autant plus quand dans les manifs je retrouves d’autres bons camarades qui eux aussi ont quitté le Parti, pourtant des solides, posés, mais découragés.
      Je ne crois pas au socialisme venant de l’occident. La Chine si elle ne succombe pas sera un moteur, la Russie est également intéressante l’URSS est encore dans les têtes et les cœurs des Russes.
      Reste l’immense tiers monde où l’impérialisme et le sous développement peuvent se rapprocher des situations où sont nés le socialisme en Russie, Chine, Cuba.

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  • albert leglois
    albert leglois

    Ce que je regrette c’est qu’on parle de socialisme et non de communisme comme tu le fais toi même.

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    • Danielle Bleitrach

      tout bêtement parce que quoique nous créerons ce ne sera pas le communisme “à chacun selon ses besoins”, alors que le socialisme, c’est à chacun selon son travail.

      Définitions pour savoir de quoi on parle

      Hier dans un moment de réflexion sur la difficulté à se comprendre y compris entre communistes, je me suis dit qu’il fallait peut-être clarifier nos concepts pour nous et pour les autres.

      Donc voici mon premier effort lexical, j’aurais pu en écrire des pages et des pages, j’ai résumé y compris les points de friction possible.

      les définitions les plus élémentaires de mots qui sont devenus des enjeux idéologiques
      Classe sociale:
      “le prolétariat est la classe sociale qui tire ses moyens de vivre exclusivement de la vente de son travail, et non du profit d’un capital quelconque, la classe dont le bonheur et la peine, la vie et la mort,toute l’existence dépend de la demande de main d’oeuvre.” Engels. Principe du communisme

      Oui mais les classes sociales sont des données historiques et on va être confronté pour les définir à ce que l’on entend par communisme, c’est-à-dire la manière d’en faire un élement actif de la transformation des sociétés, la lutte des classes qui en dernier ressort est le grand principe de transformation des sociétés.

      Il existe au mois trois définitions du communisme:

      1)-un régime social fondé sur la propriété commune des moyens de production

      2)- la théorie de Marx et d’Engels ,et leur successeurs: les idées qui reflètent la marche de la société contemporaine à travers les luttes, vers l’émancipation humaine, le mouvement qui change l’ordre des choses existant… ce qui équivaut dans cette acception à “socialisme scientifique”

      3-L’organisation et l’action de la classe ouvrière consciente, le mouvement ouvrier moderne, le parti ouvrier de type nouveau.

      Ce qui complique c’est que dans ce dernier sens il est souvent opposé à parti socialiste ou social démocrate.Et aussi que par rapport à la première définition, socialisme et communisme sont deux phases successives de la société nouvelle…

      je ne sais pas si ça vous a éclairé…

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  • Lavallée Ivan

    Bon, j’ai fait une connerie, j’ai oublié d’enregistrer avant de changer de site.
    Donc je disais pour aller vite, quitte à me faire étriller, mais j’ai l’habitude, la discussion que je vois ci-dessus me ramène 40 ans en arrière alors que le monde a profondément changé, le rapport de forces s’est qualitativement modifié, pas seulement quantitativement. D’ailleurs, et c’est terrible, aucun des commentaires tournant autour du socialisme ou communisme ci-dessus ne fait référence aux changements qualitatifs dans la façon de produire dans les pays hautement développés dont la France. J’ai écris il y a bientôt 20 ans un petit ouvrage Cyber Révolution -temps des cerises- auquel je n’ai rien à retirer, au contraire, des choses à rajouter, mais il est resté lettre morte car il y a une inertie conceptuelle dans le mouvement marxiste en France, dont déjà se plaignait K.M. les socialistes français sont des idéalistes. S’il s’agit de gloser sur “la justice”, “les droits de l’homme”, pinailler sur la définition de “social démocratie” ou “communisme”, là il y a du monde. S’il s’agit par contre d’essayer de comprendre en quoi le mouvement impétueux des forces productives modifie à la fois le rôle de la Classe ouvrière, sa position dans le prolétariat, la composition de celui-ci, et quel rôle donner au salariat, là nous ne sommes pas nombreux et regardés comme les emmerdeurs que nous sommes à juste titre car nous dérangeons en remettant en cause le confort intellectuel de trop nombreux camarades. Qu’on pense qu’il n’y pas même un conseil scientifique auprès du S.N.
    Je me permet de vous inciter à lire et CRITIQUER : http://www.ivan2015.com/2018/06/80-ans-d-histoire-des-forces-productives.html
    Et comme “définitions” du communisme, pour moi ça se situe dans la tension entre deux aphorisme, l’un de Engels “Le jour où les usines tourneront toutes seules” (Capital livre 3) et l’autre de Marx “le jour où le travail sera devenu le premier besoin social de l’Homme” (Idéologie Allemande)
    Remarque: pour que les usines tournent toutes seules, il y faut la Cyber révolution…

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    • Danielle Bleitrach

      questionavant de nous enfiler ce beau discours… que je connais tellement que je n’ai plus envie de le lire;.. mais je me force… donc avant de nous apporter tes lumières, est-ce que tu as pris la peine de contribuer à la bataille menée dans cette entreprise de microprocesseur où en violation de l’inspection du travail et des discours officiels des travailleurs, de vrais ouvriers,oui ça existe demandent notre aide pour que cela s’arrête, signe diffuse et après cher et savant camarade, nous pourrons parler et je crois avoir à dire pas mal de choses sur le fait que c’est toi qui retarde, j’ai l’impression d’écouter Le guen il y a vingt ans…
      https://histoireetsociete.com/2020/04/08/dis-aux-responsables-de-cette-entreprise-au-prefet-ce-que-tu-penses-de-leur-attitude-criminelle/?fbclid=IwAR1JtHMAA02zSj4SnHu4XV8YDx0xrPfXgBTFalWexcgJmAXltNthCHipCes

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    • Daniel Arias
      Daniel Arias

      Le cyber blabla. La Révolution numérique.
      Je suis pas un grand savant juste un travailleur “de base” un peu curieux.
      En cette période de crise révélant notre société de quoi manquons-nous ?
      De sites Internet et autres applis ?
      Non de masques,2 élastiques et un bout de tissus, un peu plus compliqués pour les ffp2, de ventilateurs, des tuyaux du métal et plastique et de l’électronique, rien de très nouveau depuis le transistor.
      Nos rayons se vident, peu de pâtes, de riz, on va devoir manger les télés.
      Désorganisation de la production, de la distribution ?
      Nous avons toujours besoin des activités primaires, agriculture et mines.
      L’industrie n’a pas effacé ces activités primaire, elle les as au contraire développées.
      Pas en nombre de travailleurs mais en production brute pour nourrir les ouvriers de l’industrie.
      La société cyber des USA et notre société de services française sont dépendante de la classe ouvrière chinoise pour une large part.
      Dans les années 70 on a donné l’illusion aux population que l’on pouvait consommer sans produire. Vêtements, nourriture, habitât, électronique grand public sont produits essentiellement par une population devenue invisible, ouvrier des pays sous traitant ou immigrés et pauvres des banlieues.
      Le rôle central de la classe ouvrière est aujourd’hui frappant, la grande puissance naissante est celle qui possède les usines et les ouvriers, la Chine. Les USA High Tech sont dépendants de la Chine, quand les USA sombrent dans une décomposition sournoise mais massive.
      Quand au cyber il repose sur l’industrie du cuivre, mineurs, des composants, fondeurs, et de l’énergie, travailleurs du nucléaire.
      Oui les progrès de productivité (qui font les burn out) libèrent des forces productives, mais qui ne répondent pas aux besoins fondamentaux. Le danger est l’illusion donnée par une économie qui fonctionne à crédit sans relation avec la production réelle.

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  • Danielle Bleitrach

    j’ajouterai ivan Lavallée, que les idées que défendaient ton père sont plus d’actualité que les tienne, en tous les cas ses pratiques l’étaient… Parce que non seulement tu n’as jamais protesté contre la censure dont je suis l’objet mais tu l’as encouragé, tu as téléphoné à plein de gens de ma connaissance pour leur dire des ignominies sur moi, alors quand je te vois oser pontifier, me faire la leçon je me dis que tu e manques pas d’air..

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    • Bernard Trannoy
      Bernard Trannoy

      J’ajouterais au propos de Danielle? que je pense, c’est mon opinion? qu’Ivan confond, de mon point de vue, la forme et le fond. Que les formes d’interventions du capital est évoluées cela ne fait aucun doute. les rapports que nouent les hommes dans le procès de production ont cette évolué, en plus raffiné, en plus perfide. MAIS SUR LE FOND RIEN DE CHANGER, NOUS SOMMES TOUJOURS DANS DES RAPPORTS DE SERVITUDE FUT-ELLE INVOLONTAIRE OU SUBIT. DE VENDEURS DE FORCE DE TRAVAIL PAS DE PRODUCTEURS ASSOCIES, TOUT CHANGER POUR NE RIEN CHANGER C’EST A CELA QUE CERTAINS VEULENT NOUS CANTONNER, SUCER LA ROUE DES SOCIAUX-DÉMOCRATES POUR TOUT HORIZON. ANNONER SANS ARRÊT ALTERNATIVE, ALTERNATIVE SANS JAMAIS LA DECLINER EST VIDE DE SENS. D’AILLEURS L’ALTERNATIF CELA VA, CELA VIENT, MAIS LA MOYENNE EST TOUJOURS ÉGALE A ZERO. NOUS SOMMES A L’HEURE OU C’EST SOCIALISME OU BARBARIE ALORS OSONS LE MOT – LA PREUVE SOCIALISTE SE FAIT DANS LA LUTTE CONTRE LE COVID-19 CHINE – CUBA – VIETNAM ET MEME LA RUSSIE PRISE PAR UNE SORTE D’INERTIE HISTORIQUE DANS LA LANCER SOVIÉTIQUE.

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      • Danielle Bleitrach

        en ce qui concerne la Russie, ce n’estpas seulement de l’inertie historique…un exemple, dans la plupart des ex- pays socialistes et en particulier en Russie, on a conservé l’habitude des vaccinations,leBCG et les Russes (il y a aujourd’hui un article dans Glad qui n’est pas communiste mais pro-poutine) pensent que c’est ce qui a été conservé du système soviétique qui comme la vaccination les protège…
        Mais le plus fondamental de ma réponse à toi Ivan Lavallée est que depuis des années, vous vendez votre salade du “changement” de l’évolution, du fait que le socialisme était un échec… j’en passe et des meilleures et vous avez interdit à des gens comme moi le droit à la parole. Vous n’avez pas accepté des débats sur des FAITS,organisé la censure, l’interdit… Si vous aviez comme tu le pontifies la science le savoir, des arguments pour jstifier ce que vous avez fait de ce parti, vous n’auriez pas eu besoin de censurer ceux qui apportaient d’autres FAITS…
        Voir pire parce que toi oserais-je te le rappeler tu as été jusqu’à dire “elle est folle parce que son fils est fou”… Au moment où mon enfant schizophrène tentait de sortir de sa maladie et que moi je vivais la solitude d’une mère (il a fini par mourir d’une embolie pulmonaire)… C’est ça un combat politique et théorique? quand il y a eu le manifeste tu as fait le tour des enseignants pour maintenir que j’étais une folle,une irresponsable… c’est comme ça que tu défendais le bilan désastreux de l’ancien secrétaire du PCF,comme tu tentes encore de venir disqualifier mes propos pour des raisons partisanes… Moi vois-tu je te laisse exposer tes théories, mais je te le répète il est des pratiques qui disqualifient et montrent jusqu’où sont allés ceux qui proclamaient l’humain d’abord et massacraient tous les anciens dirigeants.

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  • Jean-Pierre
    Jean-Pierre

    Pour ma part, ce que j’ai observé au Parti, c’est que systématiquement, les camarades qui osent avancer aujourd’hui une opinion positive sur l’URSS sont dénigrés, traités de staliniens par d’autres, et que cela s’apparente à une censure et une manoeuvre d’intimidation, et instaure un tabou, celui du socialisme, une gageure au PCF. Effectivement, ce mot semble avoir disparu de notre lexique, à tel point que l’évoquer surprend les camarades : et dès lors il ne faut plus nous étonner de ne pas être écoutés : soyons dialectiques et osons nous affranchir de cet interdit de la doxa qui fait qu’on ne pense plus le mot, on le proscrit nous-mêmes, en nous donnant comme prétexte la représentation conforme au dogme libéral d’une URSS apocalyptique, une vision du reste qui procède d’une méconnaissance crasse du socialisme en URSS et en général : elle se fonde sur l’axiome de la classe dominante occidentale d’une URSS où n’aurait existé ni le débat ni les contradictions au sein du PCUS, ni même, en son sein, des opportunistes venus au Parti non pas pour développer le socialisme, mais pour le combattre, et ils ont été si peu brimés, malgré tout ce qu’on nous a chanté, qu’ils ont fini par arriver à faire prévaloir leurs thèses et même à organiser un Coup d’Etat, car lors du Référendum, 76% des Soviétiques voulaient le maintien de l’URSS, et dans certaines régions, 96% …
    Depuis le Coup d’Etat fasciste du Maïdan, j’ai fait la connaissance de très nombreux Russes, et Ukrainiens, ex-Soviétiques…eh bien ceux qui avaient voté contre le maintien de l’URSS ( effectivement à peine 25% de celles et ceux avec on discutait) disaient qu’ils avaient eu tort et qu’ils auraient voté pour son maintien si l’occasion leur en avait été donnée.
    Donc j’ai discuté – et si la plupart d’entre eux ont bien au moins un parent communiste – pas toujours – peu sont adhérents ( quelques-uns, en France, sont au PCF). Par contre, je n’en connais aucun ni aucune qui ne soit très favorable à l’URSS, à tout ce qu’elle a apporté. Bien sûr, elle n’était pas sans défauts ni erreurs, mais le tort des détracteurs français actuels, au sein de notre parti à l’encontre de l’URSS est déjà un manque de respect vis-à-vis des Soviétiques qui sont les mieux à même pour juger de leur socialisme, et nous trouvent bien arrogants de juger de leur pays et de les juger eux-mêmes, car ils s’identifient à ce pays, et puis à mon sens, nous manquons de dialectique et de la prise en compte du contexte réel, nous voyons ce pays socialiste comme une société se développant dans un monde libre et non contraignant, laissant chaque pays libre de se développer… là je pense qu’on a le cerveau embrouillé par la doxa capitaliste.

    Le socialisme s’est développé dans un pays qui déjà avait basculé dans la Révolution pour des raisons matérielles : les Russes ont plus que les autres peuples refusé cette guerre car ils la subissaient plus encore. Et voilà que 14 pays pourtant belligérants depuis 1914 envahissent la Russie pour mater la Révolution … y occasionnant 7 millions de morts. Le Socialisme a quand même réussi à résister et à se développer, pour que déjà en 1927, l’indice de production 100 de 1913 soit atteint ! et pas en pillant des colonies…non, en alphabétisant toute une population et en développant une industrie.
    Ensuite la période des années 30 : les Etats-Unis investissent en Allemagne nazie – fort taux de profit, l’URSS au dire même de tous les Russes et Géorgiens que je connais vit une période de grand développement – et pourtant, au sein-même de son appareil se développent des complots fascistes – et non, désolé, ce n’est pas une vue “complotiste”. L’URSS aurait pu basculer dans le fascisme, les opportunistes ne manquaient pas – sauf à la base. Mais que voit-on, ici, à présent, ou dans les manuels de propagande scolaire : le méchant Staline … alors donc le méchant Staline, aurait réussi, seul contre le peuple, à garder le pouvoir d’une main de fer ? appuyé par qui ? par la Grande Industrie, comme Hitler ? il aurait donc mis en camps de concentration les syndicalistes et les représentants légitimes de la classe ouvrière ? ceci n’est absolument étayé par aucune archive ni aucun souvenir d’aucun Russe de ma connaissance. Par contre la guerre contre le fascisme, oui, ça ils savent ! Staline : dur mais juste ( il y a des nuances, mais jamais d’hystérie) ! Les Occidentaux ? ils ont signé Münich et oublié Stalingrad …
    Tout cela me semble plus consistant et structurant que les élucubrations sur notre soi-disant naïveté sur un pseudo-paradis socialiste digne de Tintin au pays des Soviets…par le facho catho Hergé. Le pays n’était pas idéal, naturellement, mais on n’est pas dans un conte pour enfants. On est dans un monde où le capitalisme ne cesse de saboter tout développement du socialisme par des guerres en armes, économiques, idéologiques, des guerres asymétriques, sa spécialité.

    Et puis comparons : en France, une femme ingénieur, c’est rare encore.
    La plupart des femmes russes que je connais sont des ingénieurs et c’est la chose la plus courante qui soit : ingénieur en chimie organique, ingénieur en automobiles ( pour les poids-lourds !), double doctorat économie et physique, double doctorat chimie organique-musicologie, doctorat historienne archiviste-ingénieur en mécanique …
    Les grands-parents ont été : de simples paysans, les parents, des techniciens, Ou sinon : morts en soldats dès le 22 juin 41, la mère orpheline devenue ingénieure, la fille, double doctorat …
    OK tout le monde n’était pas ingénieur en URSS, mais ici, je remarque qu’au Parti, les camarades ne se battent même plus pour augmenter chaque jour leurs connaissances toutes leurs connaissances. Et je ne parle pas de cybernétique ( qui devait être le futur prévu de la RDA … ah le capitalisme en ex-RDA s’est montré aussi efficace que nos dirigeants face au coronavirus …Le virus est dans le capitalisme, mais c’est incurable.
    Le bonheur est une idée neuve en Europe… mais le socialisme, il serait temps de le remettre au goût du jour. A part nous, je ne vois d’ailleurs pas qui peut s’en réclamer, et on ne s’en réclame pas , alors on consent à l’adage de Thatcher : There is no alternative…

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    • Daniel Arias
      Daniel Arias

      Je recommande de lire “Sovietica” d’Irina Malenko, une jeun étudiante soviétique qui va connaître la chute de l’URSS et va vivre aux Pays-Bas et en Irlande. Dans sont livre très savant elle dresse un portrait de la vie soviétique et d’une jeune femme en Europe “libre”.
      Ses grands parents ont bâti la jeune URSS, combattu pour la survie, sa mère est déjà ingénieur responsable de production dans une usine de motos, Irina intègre un institut à Moscou.
      Son parcours est détaillé, l’éducation toute petite, l’immense culture soviétique accessible à tous, l’école, les valeurs, les critiques en interne.
      Bref un témoignage sincère.

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      • Jean-Pierre
        Jean-Pierre

        Merci ! c’est aux Editions Delga.
        J’espère qu’on peut aussi se le procurer en anglais ou en espagnol, il y a une camarade chilienne (au Chili) que ça intéresserait (mais qui ne parle pas le français).

        Franchement, les Russes sont sidérés par l’attitude méprisante de la direction du PCF.
        Ce n’est vraiment pas “Prolétaires de tous les pays, unissons-nous !”
        Il y a des Russes au PCF, ici, malgré tout. Mais ils ne sont pas aveugles.
        Se poser en donneurs de leçons à ceux qui ont bâti le socialisme, c’est une gageure.
        On pourrait aussi donner des leçons aux Cubains, car ils me semblent que leur socialisme pèche à certains égards !
        Un dirigeant local du KPU à Ivano-Frankivsk (la ville de Stepan Bandera, le chef fasciste ukrainien de l’OUN), Mikhail est venu en 2017 ici, à la demande du SG du KPU. Il a appelé plusieurs fois au Colonel Fabien pour parler à Pierre Laurent ou d’autres de l’Appareil et les rencontrer. Réponse : occupé ! on n’a pas le temps, au-revoir !
        Le mépris n’est pas que symbolique, il est profond et inadmissible de la part de dirigeants de notre Parti.
        Malgré tout, nous sommes allés avec Mikhail et Elena ( une camarade russo-ukrainienne qui servait de traductrice) à la Fédé du Val-du-Marne, et là, Mikhail a reçu un accueil fraternel et chaleureux.
        Le PCF, depuis 2014, a une bien étrange analyse sur la question du Donbass et du Maïdan, ce coup d’Etat fasciste. Dans l’Huma, la doxa euroatlantiste sur cette question hautement cruciale…banalisée et censurée. On est très très loin du comportement d’un Parti Communiste dans un tel contexte.
        Les camarades ne sont pas informés ( et surtout pas par l’Huma).
        Quant à la solidarité internationale vis-à-vis des DNR et DNB qui se définissent aux-même comme des républiques populaires, nada ! No pasaran ! est le cri qui retentit là-bas , mais il n’a aucun écho ici.

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  • Danielle Bleitrach

    Je me suis emportée mais il y a des choses subies qui sont dures à oublier alors que les mêmes continuent et amplifient leur censure, leur diffamation, en utilisant tous les points qu’ils conservent pour continuer à pourrir le débat, à l’interdire. Pourtant j’ai acquis la sagesse et j’ai pu rester au parti en décentrant le problème, si ces gens-là avaient oeuvré pour l’intérêt général, je n’aurais eu qu’à me taire. Mais non seulement ils ont conduit le PCF à la catastrophe, mais ils continuent. Ne revenons pas sur leur disqualification de tout débat sur le socialisme, l’interdit même d’en parler, leur bilan globalement négatif de tout ce qui a trait au socialisme réel, la manière dont ils ont fait chorus sur les campagnes anticommunistes et même récemment dont ils taisaient la directive du parlement européen mettant sur le même plan nazisme et communisme. IL a fallu que ce blog fasse connaître cette directive, publie le texte de nos camarades portugais pour qu’on dépasse les trois lignes dans l’Humanité et tout en ayant aucune position de la direction nationale mais un simple texte plus qu’ambigu de la direction de l’humanité. Même attitude dans les refus de signer les textes des autres partis communistes puisqu’ils parlaient socialisme et défense du Venezuela. C’est le secteur international et on sait ce qu’il est. Bien mais allons plus loin.
    Parce que pour accomplir leur ligne catastrophique, des directions légères, plus qu’opportunistes ont utilisé des gens comme Ivan Lavallée,des gens dont ils ont utilisé les errances intellectuelles et les obsessions de fausses découvertes pour donner une caution à leur liquidation du PCF, en le coupant de sa base ouvrière.
    Résultat, prenons la dernière campagne des européennes. Ian Brossat a eu le courage d’affirmer la présence du PCF, il l’a fait avec talent et courage, mais les résultats sont là, seulement 1% de la classe ouvrière a voté pour cette liste. Laposition peu claire sur l’Europe que le candidat avait hérité du dernier Congrès a incontestablement joué un rôle.
    Comme le souligne ici même un intervenant alors même que l’épidémie nous montre la réalité d’une économie que sa financiarisation nous inventait comme immatérielle, nous voyons à quel point le capital est prêt à n’importe quoi pour imposer à la dite classe prolétarienne de continuer à travailler faute de quoi tout s’effondre. Le prochain discours de Macron, je le connais déjà. Il va poursuivre le confinement pour les vieux, les gens de la production immatérielle mais la classe ouvrière, le prolétariat lui on va le forcer, transformer les lois en ce sens.
    Et c’est au moment où il se passe cela que ces médiocres idéologues viennent nous ressasser ce qui a accompagné de pédantes affirmations la liquidation des liens de notre parti avec les couches populaires. Et il ne le fait pas en tentant une hypothèse en accord avec les faits, non il intervient ici avec la morgue macronienne d’un donneur de leçon, comme tous ces gens qui depuis plus de 20 ans tiennent la presse communiste et imposent une parole décérébré pour les militants dont la seule vertu est qu’elle coïncide et ne contredit pas ce qui se répète sur les plateaux de télévision.

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  • Placide
    Placide

    Merci Danielle pour ce constat lucide de ce qu’est le PCF actuellement. Une organisation rassemblant encore aujourd’hui des milliers de communistes, militants sincères, dévoués et efficaces, mais un parti qui n’est plus communiste depuis longtemps. Verrouillé de l’intérieur pour empécher ces mêmes militants d’inverser le tragique cours de la mutation.
    Y compris de façon violente. Violence physique comme cela a été le cas dans nombre d’endroit pour chasser ceux qui oser contester la mutation et certaines magouilles, violence intellectuelle – avec notamment la censure dont tu fais l’objet comme d’autres intellectuels communistes mais aussi des syndicalistes de classe et de combat.

    Des camarades ont cru avec le dernier congrès qu’un changement était possible. D’autres dont je fais parti ont alerté à l’époque sur le fait qu’il y avait peu de chance que cela aboutisse. Ne contestant d’ailleurs pas la valeur et les efforts louables de ceux qui ont alors essayés. J’aurais préféré me tromper, mais je vois que la situation confirme l’analyse faite alors, et qui avait – je le regrette aussi – parfois exaspérée à tort, avec un clivage artificiel, qui d’une certaine façon perdure depuis.

    Mais c’est le présent et l’avenir qui compte.
    Le constat positif c’est qu’il y a et il y aura toujours des communistes dans ce pays.

    La vraie question est donc celle de l’organisation, nationalement, de ces milliers de communistes pour passer à l’action. Que l’on soit au PCF ou que l’on n’y soit plus, ou jamais été pour les jeunes.
    Cela ça nous est possible. Et pour imparfaites qu’elles soient encore, quoiqu’en améliorations constantes, je crois qu’il est urgent de rejoindre les initiatives déjà prises au plan national en ce sens. Que 3 ou 4 000 camarades, tout particulièrement les jeunes, aujourd’hui entravés dans leurs actions par l a superstructure mutante du PCF pour convaincre les travailleurs, osent franchir le pas, et nous aurions j’en suis convaincu en très peu de temps la renaissance d’un vrai et unique parti communiste. Celui qui nous manque non seulement à nous communistes, mais à tout les travailleurs de ce pays et au delà.
    Suis je trop audacieux ? Je ne crois pas. Qu’avons nous d’autre à tenter que cela ?

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  • pedrito

    Verrouillé de l’intérieur. Voilà la formule vraie. Et pourquoi j’y suis revenu il y a peu mais sans y être, sans oser y militer, tellement ceux qui ont les clés de ma fédé nous ont grugés. Adhérent – militant !! – depuis 1966. J’ai laissé, je suis revenu. Toujours avec les mêmes rêves mais un grand malaise. Devant des gens que je ne sens pas communistes…. Quel courage tu as Danielle, de tenir tête, de te battre, contre ces salauds et connards qui te méprisent

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  • Didier Olmos
    Didier Olmos

    Bonjour Danielle, IL existe un mouvement dont l’objectif est de faire renaitre ce grand Parti Communiste En France. C’est le PRCF, que tu connais d’ailleurs.
    Amitié.

    Didier

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    • Danielle Bleitrach

      mon cher camarade, j’ai beaucoup de sympathie pour le PRCF, et je considère que le travail qu’ils font pour défendre le marxisme, l’intérêt national est très important, je les considère comme des communistes à part entière… si j’étais à la direction du PCF, non seulement je les intégrerais, mais je leur confierai la formation des militants avec d’autres qui ont également un apport, je pense à la revue progressistes ou sous certains aspects les économistes. A charge d’un contrôle politique qui serait celui de la direction du PCF élue en congrès. C’est dire… mais je ne fais pas leurs choix politiques et cela se confirme à chaque élection… J’ai peut-être tort mais je ne crois pas aux choix groupusculaires, le parti tel qu’il est et dieu sait qu’il a beaucoup souffert me parait l’unique voie. De ce fait ceux dont je me rapproche sont le réseau animé en particulier par les camarades de Vénissieux. Mais nous avons l’habitude de travailler ensemble.

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  • Lavallée

    Les agressions ad Hominem évitent d’avoir à engager une discussion de fond qui eut pu être féconde, par conséquent, j’en reste là faisant le constat que cette discussion est impossible.

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    • Danielle Bleitrach

      Il y a quelque paradoxe à m’accuser d’avoir des arguments ad hominen, vous qui n’avez jamais osé m’affronter en débat sur le fond, qui avez choisi la censure et la diffamation: “elle est folle, irresponsable, etc…” et toi tu as précisé: “elle est folle parce que son fils est fou”… sais que quand la mère d’un enfant schizophrène entend cela elle est retournée comme un lapin que l’on dépiaute, un gouffre se creuse en elle et elle a l’impression de tomber dedans et pas crois-le pour elle… alors apprends qu’il faut un grand équilibre mental pour affronter la folie, la mort, tout ce qui a été ma vie, avec des gens comme toi de surcroit. J’ai tenu bon et je n’ai même pas trahi…

      Le dialogue ici même, c’est toi qui l’a rendu impossible, moi à l’inverse de toi et de ceux que tu soutiens, j’ai publié ce que tu dis… C’est la première fois que je fais état de toutes les campagnes que tu as mené contre moi et qui étaient de la pure diffamation. La première fois et je te l’ai dit en face, en laissant chacun juger de l’intégralité de ce que tu avançais par rapport à la réalité de ce que nous vivions tous en ce moment… d’autres t’on répondu sur le fond… j’aurais aimé dans le parti jouir de tels droits démocratiques… Bénéficier d’un tel respect de votre part. Comme il m’est arrivé de le signaler, en ce qui me concerne un procés “stalinien” aurait-été un degré supérieur de démocratie par rapport à ce que j’ai subi. Il est bien mal venu de m’attribuer l’impossibilité du dialogue…
      Ici tu peux toujours écrire, dialoguer, mais pas avec moi parce que j’attends au moins que ceux qui se sont conduit d’une manière aussi inhumaine, aussi injuste avec moi demandent pardon…

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      • Luc
        Luc

        Il y a quelques années,j’ai manifesté mon soutien à Danielle. grâce à ce blog.
        Effectivement,Danielle tu es là,ici,dans ton équilibre et dans le pardon dans ce blog ni Haine ,ni Oubli..Je suis heureux de te voir ainsi…Bises,Luc

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  • Grégorio Martinez-Diaz
    Grégorio Martinez-Diaz

    Camrade Danielle Bleitrach, je pense exactement ce que tu exprimes si bien.

    Dans cet article comme dans tous ceux que j’ai lu de toi.

    Je voudrais juste ajouter un souhait à ta réponse au commentaire du camarade Didier Olmos.

    Tu lui dit, notamment ce que tu ferais si tu étais à la Direction du Parti, concernant nos camarades du PRCF.

    Ta réponse me convient totalement et la direction du Parti serait bien inspirée d’appliquer ta pensée.

    Si j’étais à la Direction du PCF, il y a bien autre chose que je ferais en priorité.

    Je t’appellerais aussitôt et te proposerais d’intégrer l’équipe chargée d’organiser le 100 anniverssaire du Parti.

    Je te proposerais également d’ animer cette equipe.

    Enfin, pour te convaincre d’accepter mes deux premières propositions, je te laisserais le choix de composer les membre de cette équipe en question.

    J’aimerais tant que ce 100 anniversaire marque le renouveau du Parti Communiste Français.

    Que tous ceux qui l’ont quitté parce qu’il ne se reconnaissaient plus dans le Parti devenu, de fait, social-démocrate, reviennent “à la maison” pour la reconstruire sur ses fondations✊

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